Sur le site de du marchand où je l'avais acheté, j'avais laissé ce commentaire toujours présent :
Même secoué et à l'envers, l'étui en kydex maintient avec force le Bravo 1. Il en faut donc un peu, de la force, pour extraire ce couteau de son étui ou l'y introduire. Et un claquement retentit systématiquement. Pas super-discret. Mais cet étui a le mérite d'être léger (50 g) pour un couteau qui l' est un peu moins (215g) et surtout d'offrir en deux coup de tournevis toutes les positions de passant que l'on souhaite.La lame, épaisse de 5,5 mm, convexe et dans un A2 qui bille à 59 HRC coupe redoutablement bien, tient le fil d'enfer et fait preuve d'une solidité à (presque) toute épreuve. Elle est montée en plate semelle, c'est à dire encadrée de deux plaques en micarta solidement rivetées qui forme un manche assez épais offrant une prise en main confiante dans un matériau résistant. Une petite saillie crantée permet de maintenir le pouce dans les progressions en piqué toute en laissant la possibilité de placer celui-ci sur le plat de la lame lors de mouvements en appui. Les fans de fire steel pourront utiliser la petite courbure après les crans pour frotter sans glisser. Et les esthètes admirer sous son air trapu ses finitions irréprochables.Seule ombre au tableau ça s'oxyde... Il faudra donc soit éviter toute humidité, soit être un maître de l'essuyage rapide après usage et du petit coup de gras qui va bien, soit être un amoureux de la pâte à polir, soit s'en moquer. Ceci-dit, pour ceux que les aciers carbone/semi-inox rebute, il existe une version inoxydable. Aux Etats-unis
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Si ça peut te donner quelques informations supplémentaires...