ouaip, yavait bien longtemps que je m'étais pas défoulé comme ça...grace a qui?……… grace a elbosco et son post apocalyptique.……..haa!!! le sable et le bord de mer.………..
on rejoint le maitre c'est correct..
tiens pour le plaisir je ressort un pitch ancien, le scenar est à ta disposition
ERGO (T)° SUM.Auteur:Gumbau Jacques français.
D'après l'œuvre peinte du maître.
Court métrage 25".politique fiction.
Connotation artistique et historique.
Pitch. Suite et extrapolation des images diaboliques et des métamorphoses monstrueuses des tableaux de Jérôme Bosch; la seule et unique question de ce début de siècle que pose ce film est à savoir pourquoi et comment la barbarie se perpétue dans nos sociétés civilisées?
Intentions et l'histoire.Exposition libre de la vie et l’œuvre du maître Jeroen Anthoniszoon Vab Aeken … dit Bosch Jérôme, dit" El Bosco".
Interprétation libre sur l’origine et la perpétuation des comportements barbares humains.
Dans une version qui se voudrait plus longue on tente de montrer la relation indélébile qui poursuit les hommes dans leur Histoire, de dévoiler la chaîne qui lie les acteurs de ces comportements contre nature.
De montrer qu’il existe un lien historique, biologique qui les relient par la descendance inscrite dans les gènes :à savoir qu’un spectateur d’une scène de grande barbarie, un acteur ou un survivant, consigne pour toujours cette barbarie dans son ADN et la perpétue au fil des siècles.
On pose comme postulat que les premiers hommes, témoins et acteurs pour survivre,ont vécu des scènes de grande violence,assimilés à celles des prédateurs pour se nourrir, malheureusement, ces traumatismes ne s'effacent pas, ils se poursuivent et s'autoalimentent à chaque nouvel acte de barbarie,à tel point que le deuxième postulat serait se sont les porteurs de ces gènes de violence qui sont les auteurs des atrocités:tueurs en série comme chefs d'état "va t'en guerre" ont la même descendance historique meurtrière.
Le Bosco n’étant qu’un "passeur", un témoin révélateur de cette inhumanité ; ses créatures aberrantes, polymorphes perverses se prêtent justement à la mise en "photo" de la sauvagerie humaine.
En conclusion cette barbarie est loin de s'atténuer, au contraire l'effet boule de neige est visible à chaque nouveau conflit en témoigne les dernières images de l'actualité récente.
Le traitement "underground" cherche a traduire la disposition en hélice de l'ADN : le point de départ de toutes les séquences en représentations fixes suivies de transformations des œuvres de Jérôme Bosch, anamorphosées dans un foisonnement d'images balayant la préhistoire et toutes les conditions sauvages de l’histoire humaine jusqu'à nos jours dans un tourbillon ou une spirale inquiétante.
Au fil des images bousculées, le spectateur fait peu à peu le rapprochement entre, les images à vomir debout de l’Histoire et notre propre vécu qui n’en font qu’un.
On comprend que l'agressivité primale inscrite dans notre ADN ne cesse chez certains d'augmenter et de s'amplifier.
Que nos bourreaux d'aujourd'hui ont fréquenté depuis la nuit des temps des situations analogues, en qualité de victimes, de spectateurs ou d'acteurs.
Dégoûté de la violence à jamais, le spectateur doit sortir avant la fin, et rester malade pendant plusieurs jours.
Dans une version moins violente on soustraira les images crues pour ne garder que les portraits souriants des personnages mis en cause.
"Tu vois Tuco, le monde se divise en deux catégories. Ceux qui ont un flingue, et ceux qui creusent. …(Le bon, la brute, et le truand)...toi tu creuses!