...et ce n'est pas fini, mais si j'en dévoile trop on va comprendre ce que je bricole dans mon coin avant que je passe à la case INPI,j'ai encore des questionnements sur des outils tranchant de sabotier et d'autres, une hache exentrée de charpentier marine je crois -le tout reuni
je sake fort et je sers sur de la glace pilée
ha j'ai oublié,
le couteau qui sert à achever les baleines ,là j'ai le nom et je connais la fonction (non c'est pas un harpon pour achever la bete
)
l'histoire du local qui démontre brillement l'utilisation de son arme blanche et se croit le plus fort parcequ'il est doué face au blond qui presse uniquement sur la gachette pour l'envoyer adpatres résume gravement l'atagonisme flagrant entre tradition et modernisme en plus de donner une touche un tantinet rasciste en ce sens que l'orsqu'il appui aisement sur la gachette son rictus est de trop du style "je te descend et en plus t'est qu'une merde "avec ton arme ancestrale de sous developpé.
Toute la proffession cinematographique c'est empressée de voir là une attitude rasciste comme dans les Tintins au Congo -il faut quand meme qu'il y ait des gens qui reflechissent aux actes des autres
bien que c'est un peu tiré par les cheveux,
mais ça nous a quand meme fait bien rire à l'époque
"Tu vois Tuco, le monde se divise en deux catégories. Ceux qui ont un flingue, et ceux qui creusent. …(Le bon, la brute, et le truand)...toi tu creuses!
pourquoi je partirai ? je suis sur la bete ,j'y reste 
des fois, à jeun ,je dois rejoindre les reptiles de l'ile de Komodo 
dans une longue explication ,un interlocuteur me faisait gentiment chier pendant mon "discours" ,je lui repondais systhematiquement -"lache moi la banane"