Sebenza Mania, ou la légende Sudafméricaine est-elle authentique ?
Dans la droite lignée du mouvement protestataire extrémiste NoNSPaQPI (Non, Nous Ne Sommes Pas Que des Psychopathes Incultes) et faisant suite aux sciento-paléo-reportages vus ici récemment (cf. : la vis d’Archimède), il était devenu indispensable de crever au plus tôt un de ces abcès purulent qui entachent un peu nos relations sur ce forum.
On savait déjà que, au moment même où Christophe Colomb filait la chtouille aux petites vierges de San Salvador, Léonard de Vinci était sur le point de faire la découverte du backstand, pour preuve ses crevards sur le sujet, il ne lui manquait plus que les bandes abrasives, et c’était fait ! (en fait, c’est tout lui, ça, commencer mille choses et en finir deux …)
Et en fait, grâce à De Vinci, nous progressons dans la connaissance du Sebenza, le vrai, l’historique.
Car en effet, et contrairement à toute la mythologico-propagando-publicité qui inonde abusivement cet espace de discussion, je suis en mesure de prouver par un simple élément historique que Chris Reeve est un bel et bien un usurpateur.
Eh, oui ! Ça calme, hein ?
Démonstration :
Ben en fait de démonstration, je vous propose de jeter un coup d’œil attentif à cette célèbre peinture de Léonard De Vinci (ouiche, je sais, le disciple préféré de Jésus, Marie Madeleine, blabla, non mais ça c’est déjà vu, regardez donc ailleurs ) L'ultima Cena :
Cliquez sur l'image pour agrandir, attention super grand
allez je vous aide, un gros plan :
Alors, que voyez-vous ?
…………..
mais si, là :
eh, oui, un SEBENZA REGULAR OLIVEWOOD INLAYS. En 1497 ! à Milan !
CQFD.
Voilà encore un mythe dont le cou aura été tordu grâce à la Doctrine H !
(un peu aidé par le HS de Géo consacré au Génie Italien …)