Ester Winch a écrit:Cas où une pointe m'est utile : piquer un animal, le préparer, principalement. Sinon, coupes précises (avec la pointe, enlever de l'écorce, préparer un coeur de plamier où après avoir découper une noix de coco faire un trou propre pour la boire, par exemple), ou au contraire exploser une vieille souche , récupérer une flèche...Il y a plein d'exemples, c'est un tout, un couteau, ça coupe et ça pique, sauf cas spécifique ( 1 perforatrice magique ou 1 dague à servir n'ont pas besoin de couper beaucoup par exemple, un couteau rescue n'a besoin de piquer, etc).
Voilà le genre de message que j'attendais.
Pour piquer un animal, y'a pas photo: il faut une pointe. Plutôt que de se tailler un bout de bois et le durcir au feu façon Néanderthal, c'est sûr qu'il vaut mieux l'avoir au bout de son couteau en acier, cette pointe (puisque l'épieu est pas mal tombé en désuétude). Et dans cet usage: the bigger the better.
Par contre, pour préparer (après, je ne sais pas exactement ce que tu entends par là précisément non plus) et faire des coupes précises, ça laisse sous-entendre que le couteau n'est pas très grand ni "très" lourd, et qu'il reste tout à fait maniable pour ces usages en le tenant par le manche. Parce que j'imagine difficilement qu'on considère comme une solution satisfaisante de faire ces opérations en tenant le couteau par le milieu de la lame (ce qui est inévitable quand la lame est longue).
Du coup, question suivante: quelle est la taille du couteau que tu emploies ainsi, et l'utilises-tu et le désignes-tu comme un couteau de camps?
Je n'ai ni coeur de palmier ni noix de coco fraîche sous la main, mais je pense que c'est possible de faire avec la pointe d'une serpe "italienne" ce que tu fais avec ta pointe droite.
Sinon, pour l'aspect arme/self-defense, je me suis arrangé avec "mon" boucher, et d'ici quelques semaines il va me passer une tête de veau pour que je fasse dessus des tests à la Cold Steel avec mes serpes, si vous voyez ce que je veux dire.