Blue Dog a écrit:L'a un joli coup de marteau le felipe!
Oui, je m'en doute (qu'au mieux c'est felipe qui a pris la photo).
D'autant qu'il ressemble beaucoup au Bowie de Gregory Picard en vente dans les p.a.
Blue Dog a écrit:L'a un joli coup de marteau le felipe!
Alexdeden a écrit:Blue Dog a écrit:L'a un joli coup de marteau le felipe!
Oui, je m'en doute (qu'au mieux c'est felipe qui a pris la photo).
D'autant qu'il ressemble beaucoup au Bowie de Gregory Picard en vente dans les p.a.
wadcutter a écrit:Avec la tempête j'ai eu pas mal de boulot pour le skrama.
Il a même rencontré un caillou en débranchant le grand houx à coté du garage (heureusement tombé du bon coté).
Juste une petite marque sur le fil, un petit coup à la pierre et il est près pour demain.
Un bon outil, efficace.
sealence a écrit:Une lame qui brille, je trouve ça bien trop poli. C’est comme un galet qui a trop roulé. Cette forme qui réfléchit, qui renvoie la lumière sans l’avoir capturé me gêne souvent dans mon plaisir de la photographier. Pour moi, rien ne vaut un brut de feu qui garde en lui cette mystérieuse sauvagerie de la forge. A moitié arme ou à moitié outil, rien ne détermine mieux l’humeur du forgeron que l’aspect visuel de sa lame. Ces reflets violents des inox trop frottés ne peuvent conquérir mon regard qui se détourne machinalement d’eux. Mes yeux ne s'attardent avec intérêt que sur ces beaux aciers qui avec leur aspérités et leur sombre reflets capturent la lumière sans jamais la renvoyer, uniquement pour sublimer la surface.
Seul le bord brillant renvoie la qualité du tranchant à travers l'œil, mais sur ces surfaces bien trop lisses, il n’est pas impossible d’en perdre le fil.
Les inox souvent très pratiques car insensibles à la rouille ne nous poussent guère à entretenir nos couteaux et nous négligeons souvent leur entretien. Les lames en acier au carbone font toujours en sorte de nous rappeler cet aspect méticuleux. Parfois ou souvent, des taches disgracieuses ou pas, apparaissent. L’entretien et l’affutage dans la foulée, sont alors une évidence.
Les couteaux d’artisans japonais, souvent, ont paré à cette équivoque car le forgeron au bandana sait conserver ce brut de feu qui protège la lame et signe son travail parfois aussi bien que ses Kanjis.
Mais nos artistes du métal ne sont pas en reste et forgent souvent sous la lune ou sous l’éclipse, l’acier noir qui garde la lumière.
Alexdeden a écrit:Beau couteau, belle photo et beau texte.
Bref, tout est beau là.
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