DiZ a écrit:je me suis egalement posé la question (en voyant des lame seules a monter)
je profite du post pour un petit HS: j'ai vu/lu pour une soir non traversante, de percer plus petit que la soie, de rentré, la soie chauffée en force dans le trou, evetuellement "cimentée", ça vous parait juste comme affirmation ?
baalot a écrit:DiZ a écrit:je me suis egalement posé la question (en voyant des lame seules a monter)
je profite du post pour un petit HS: j'ai vu/lu pour une soir non traversante, de percer plus petit que la soie, de rentré, la soie chauffée en force dans le trou, evetuellement "cimentée", ça vous parait juste comme affirmation ?
Oui. Je crois que pas mal de types utilisent cette méthode de métal chauffé et forcé. Et effectivement, il y a eu ici des discussion sur la manière d'utiliser le ciment coutelier, dont certaines préconisaient de "remplir" le trou de ciment, puis d'insérer la soie chaude dedans.
Bpc ou un autre calé en histoire des techniques coutelières pourraient certainement en dire plus/mieux.
ilium a écrit: j'imagine que ça garde une certaine souplesse et que ça signifie que le montage doit être parfaitement étanche sous peine de finir par bouger dans ce cas.
G-M a écrit:Mais sinon oui, une soie traversante c'est pas le plus simple à faire bien.
Ca va de la soie ajustée parfaitement sur la longueur montée sans colle ni ciment, à la méthode américaine : Un gros trou au foret, une timbale d'époxy et on plonge une soie dedans qui touche à peine les bords. Le tout camouflé par une garde. Ca marche mais faut avouer que ça n'est pas très élégant.
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