Et si simplement la forge et le backstand étaient deux modes de travail complémentaires.
C'est le cas pour moi.
Je ne forge jamais trop fin pour protéger l'acier.
Je suis maniaque dans le travail à chaud (respect des plages...) et je normalise presque religieusement.
Idem pour le TTh.
Donc j'adore forger.
Mais si on me pique mon backstand, je ne vois pas comment je vais finir mes lames...
Je fais aussi des lames en stock, qund j'ai des barreaux déjà aux côtes, qui sonr trop fins pour passez à la forge, ou simplement que je n'ai pas l'occasion de forger mùais que j'ai envie / besoin d'être à l'atelier.
Et je préfèrerai toujours le boulot d'un gars compétent (stock ou forge) à celui d'un gars qui bâcle son travail (stock ou forge).
C'est plus qui bosse et comment, qui compte pour moi, que le mode de production, dans la qualité finale d'un couteau.
Dans les tests de coupe, aux USA notamment, il y a autant de forgerons que de couteliers qui bossent en stock.
Mais tous savent faire des couteaux qui dépotent.
Wala!
Rémy

PS : et je rejoins notre petit Lucas

: pour le damas, le wootz et tout ce qui est composite, il faut savoir forger, et bien même...
