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De toute façon, dans l'idéal meuler de l'acier a sec quand il est trempé, c'est quand même pas top.……;et c'est pire avec de l'inoxydable.

Même si on peut se débrouiller, évidement.

bpc a écrit:De toute façon, dans l'idéal meuler de l'acier a sec quand il est trempé, c'est quand même pas top.……;et c'est pire avec de l'inoxydable.

Même si on peut se débrouiller, évidement.

c'est bien pour cela que j'ai mis une pulvérisation sur mes bandes, j'ai pas encore la meule a eau mais c'est sur le principe.

Un autre truc pour avancer en emouture, le suminagashi vg10 lors de l'emouture après quelques passes un bain dans le perchlo et on voit ou on en est .
Ca permet d'évoluer assez rapidement car on peu facilement comprendre ou l'on fait des erreurs .

Pour joindre l'image au propos, voici la deuxième émouture que j'ai tenté de réaliser sans lime:


Le départ d'émouture est un peu baveux à la base de la lame, mais le reste de la ligne est assez régulier. J'ai trouvé l'exercice particulièrement délicat au regard des dimensions généreuses de la lame, cela chauffait énormément du fait de l'importante surface de contact entre le métal et l'abrasif. Surtout au moment de faire le verso où l'épaisseur de métal était déjà diminuée de moitié. Du coup, de la patience et la main légère ont été de rigueur. Pour une deuxième tentative et au regard de l'ambition du projet (le copain qui s'est dessiné ce modèle n'a pas été timide sur la hauteur de lame) j'estime que ça n'est pas un ratage complet.

Pour en arriver à ce presque résultat, les conseils que j'ai pu glâner sur le forum ont été très utiles. Notamment le fait de ne pas bouger le haut du corps et de se déplacer latéralement face à sa bande. Cela a vraiment fait une différence (que j'ai largement eu le temps de constater vu le temps que ça m'a pris de retirer toute cette matière). Du coup, merci à tous et à la prochaine tentative.

Chouette!