couteaufan a écrit:On montre qu'un amateur de couteaux n'est pas un malade chronique!
couteaufan a écrit:Qu'est ce qu'on fait?
On montre qu'un amateur de couteaux n'est pas un malade chronique!
on montre ses couteaux aux amis,proches...
On fait connaître Néoczen!
on profite de chaque occasion pour démontrer qu'un ou des couteaux c'est UTILE
On fait venir la presse sur les salons!
Il y a mille choses à faire chacun !![]()
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:Bali:
:Bali:
Et puis on achète bien sur( vivement mars j'ai vu un L08 en FC qui me semble BEAU!)![]()
974-ACP a écrit:Preuve chez Thiel...avec un spydie PPT![]()
Dur de percer en tant que frenchie sur un marché US.….ce n'est pas GC , qui fréquente souvent USN qui dira le contraire...
Patrick a écrit:My 2 cents :
c'est aussi un probleme de culture, et de taille de marché. Comme quelqu'un l'a très bien dit, il est plus facile de monter un business pour un marché de 300 M d'habitants que pour un marché de 60 M. Le business plan n'a rien à voir... et du coup les entreprises n'ont ni la meme taille, ni le meme rythme de croissance. Par ailleurs, et c'est un effet multiplicateur du point précédent, les américains ont une tradition d'"outdoor" bien plus forte que la notre : la culture pionnière, bien sûr, mais surtout la taille des territoires non habités, la pratique de la chasse et de la peche... Tout ceci fait que le marché du couteau n'est pas vraiment comparable.
Du coup, il n'y a pas beaucoup de place sur le marché français, et ceux qui ont réussi à s'y faire une place, justement, se retrouvent challengés par des américains qui disposent d'une force de frappe commerciale sans commune mesure. Quelques PME s'en sortent, quelques artisans parviennent à en vivre, qui parviennent à vendre non seulement un couteau, mais aussi l'histoire qui va avec, et sans doute un supplément de valeur immatérielle. Pour les autres, cela reste un hobby ou un side-job.
Mais après tout, est-ce que c'est grave ? Est-il nécessaire de transformer une passion en métier, que l'on soit fabricant ou collectionneur, pour en profiter ? La taille du marché, petite, donc, n'empeche pas un David Lespect de mener sa barque, ou un Bruno Duffort de vendre au-dessus de son prix de revient (pour ne citer que des gens du forum), même si les prix ne crèvent pas les plafonds... Quant à Oufti, je ne l'ai jamais entendu dire qu'il regrettait de ne pas pouvoir en faire son métier ?
edit : je viens de relire le post de FT, qui dit bien qu'il vend en dessous de son prix de revient s'il appliquait des tarif "normaux"… Mais ça ne change pas ma question : est-ce que c'est vraiment un probleme que ça ne puisse etre un métier que pour quelques uns, et que ça reste une activité complémentaire pour beaucoup d'autres ?
GC a écrit:Je pense que la tendance n'est pas faite par les américains, mais par ce que le plus grand nombre de personnes achète dans le monde
Perceval a écrit:Le reste est invisible et il nous est donc impossible d'estimer le potentiel du marché français si l'information lui parvenait.
Perceval a écrit:Tu trouves que Maserin se positionne toi ?
La communication peut s'optimiser si il y a un front commun et une avant-garde (vitrine ou élite). Voyez les autres marchés de prestige : haute couture, vin, bijouterie...
bzorg a écrit:Bah moi je prendrais un Blem plutôt qu'un CRK
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