bpc a écrit:Après, faut pas s’en faire exagérément ….la vie doit rester agréable !
Rouge a écrit:Je n'ai jamais sauté d'un avion sans parachute
A chaque rencontre / apérocouteaux, j'avais dans mon sac de quoi intervenir rapidement
(Alcool et couteaux, parfois, y a des mouvements inconsidérés...)
- Espérer les gains, mais provisionner les pertes ;
- La confiance n'exclut pas le contrôle ;
- Prévoir, c'est survivre.
freddy1 a écrit:moi, vivant en ville avec un petit jardin et une cheminée, je n'ai pas de tronçonneuse ni de fendeuse hydraulique, et j'achete une stere de bois plus ou moins fendue, donc je fais de la refente au Bowie !
(mais j'habite à 500 m d'une caserne, donc j'ai pas de kit médical)
Bandit a écrit:Combien de fois je me suis dit en bricolant avec un outil ou une machine: "Tiens c'est pas passé loin..." et pourtant je suis d'un naturel prudent, mais je ne suis pas un pro et même si je l'étais, on ne peut pas tout gérer (Alexdeden nous l'a encore démontré il y a peu).
et des exemples il y en a à la pelle dans plein de domaines.
Pour le garrot, c'est sans doute mieux d'avoir un truc dédié mais encore plus important je crois, c'est de savoir quand et comment s'en servir.
el-Lapsa a écrit:Ma trousse de soin ne m'a pas servie pour les blessures graves faute d'en avoir eu, mais t'es content d'avoir de quoi soulager tes ampoules en rando (surtout avec des Rangers), le gel hydroalcoolique quand tu vas trifouillé n'importe quoi dans les bois (oh la belle dépouille de blaireau qui bouge toute seule!) Et que tu veux casser la croute ensuite, le sérum physio quand t'as une limaille dans l'oeil, la pince à épiler poir retirer ces put@!ns d'épines de prunellier ou des tiques..
Faut constituer sa trousse en fonction de ses besoins surtout, on a pas tous le même quotidien.
Et sans parler ici de situation mortelles, une écharde ou une ampoule au mauvais endroit ça peut te pourrir la journée...
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