Un nouveau drame du quotidien: le voisin rentre du bureau, je travaille dans ma nusine les portes nouvertes ( y fait bô en Nalsacie ), on décide d'un commun accord de boire une mousse ( c'est ça la démocratie ! ).
Et c'est là que commence le drame.
D'abord sournoisement, je croise un saucisson sec : je dégaine mon PFQ et me défend vaillamment contre ce vil tentateur. Bien sur, n'écoutant que son courage, mon invité se jette dans le conflit. Nous nous battons courageusement contre toutes ces rondelles qui déferlent sur la planche à découper, aidés par nos bonnes vieilles traditions locales ( l'amer avec citron SVP ! ).
Mes les nanas débarquent et ce qui aurait pu n'être qu'une simple escarmouche dégénère rapidement en une véritable bataille rangée quand les mini-knacks, les chips, les fromages découpés en dés ( les sournois . . . ) , même des verrines de ratatouille froide et des morceaux de tarte aux asperges arrivent en renfort dans cette coalition anti-découpage de sausno.
Bien sur, nous n'avons pas pu vaincre une telle puissance adverse.
Mais nous livrâmes un combat épique, jusqu'à ce que nos estomacs crient leur malheur et leur désarroi de ne plus pouvoir engloutir un tel ennemi . . .
Je vous confie ici quelques images du début du conflit que j'ai pu fixer avant que les choses ne dégénèrent. Je n'ai pas eu le courage de photographier le lieu après notre défaite !
Mais le demi saucisson qui reste sera sacrifié, je le jure, au nom de la Vendetta( new-age ) et de la fierté que mes ancêtres m'ont léguée ( mélange de sang corse et alsacien quand même ).
Toutes façons, m'en fout, j'ai bien dormi, nanana !


