La Tanche une bien belle bête

Le couteau dans tous ses états, conseils, statistiques, psychologie, etc.

Re: La Tanche une bien belle bête

Messagepar Shengouille » 24 Aoû 2011 13:52

freddy1 a écrit:
pydd a écrit:La tanche est effectivement un beau poisson, et le pêcher est un plaisir.
Il a peu d'arêtes et sa chair est succulente

j'ai mangé de l'homble-chevalier dernièrement, je connaissais pas, bin c'est très bon.. :bave:


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Re: La Tanche une bien belle bête

Messagepar freddy1 » 24 Aoû 2011 16:16

Shengouille a écrit:
freddy1 a écrit:
pydd a écrit:La tanche est effectivement un beau poisson, et le pêcher est un plaisir.
Il a peu d'arêtes et sa chair est succulente

j'ai mangé de l'homble-chevalier dernièrement, je connaissais pas, bin c'est très bon.. :bave:


Sans hache, c'est un omble chevalier :)

vivi, mangé au couteau, pas à la hache, quelle drôle d'idée ! :roll:
Ce couteau : comme icone, objet de discussion et signe de l'inutilité qui rend notre esprit heureux je te le conseille et pourqoui pas la vie est déjà triste et réaliste assez.
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Re: La Tanche une bien belle bête

Messagepar Melkor » 25 Aoû 2011 23:51

Ce forum est fou.

:marteau:
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Re: La Tanche une bien belle bête

Messagepar Epitaf » 26 Aoû 2011 07:34

Le Thon



Le terme thon désigne plusieurs espèces de poissons océaniques de la famille des Scombridae, dont les thons rouges, le thon blanc – ou germon –, le thon albacore, le thon patudo et le thon listao. Ces trois derniers sont des thons tropicaux.

Le thon est un animal marin très largement disponible et le risque de sur-pêche est grand. La capture mondiale de thonidés est de l'ordre de 4,5 millions de tonnes par an. Il est difficile de garder un thon captif ; l'Aquarium de la baie de Monterey est l'un des rares dans le monde à pouvoir en montrer.

Espèces

Cette famille de nageurs véloces (avec des records de 80 km/h) et de mangeurs voraces (chaque jour jusqu'à 30 % de leur poids en petits poissons ou crustacés) compte une douzaine d'espèces. Les voici par ordre décroissant de quantités pêchées :

* la bonite à ventre rayée ou listan ou listao (Katsuwonus pelamis) est un thonidé tropical. C'est l'espèce de thon la plus pêchée avec 2,8 millions de tonnes en 2006 (60% des pêches de thon)[2].
* le thon jaune ou albacore (Thunnus albacares) est un thon tropical. Il a été observé en plongée à des profondeurs supérieures à 1 000 m au large des Seychelles et représente 24% des pêches.
* le thon obèse ou patudo (Thunnus obesus) (10% des pêches)[1].
* le thon blanc ou germon (Thunnus alalunga) est plus petit que le thon rouge et vit avec ce dernier. Il est pêché en surface.
* les trois espèces de thons rouges, les plus gros et peuvent atteindre jusqu'à 2 tonnes.
o Le thon rouge du Nord ou thon rouge de l'Atlantique : Thunnus thynnus, présent dans l'Atlantique et la Méditerranée peut vivre 40 ans.
o Le thon rouge du Sud : Thunnus maccoyii.
o Le thon rouge du Pacifique : Thunnus orientalis.

* le ravil (Euthynnus allettaratus), thon tropical.

*

Description[modifier]

Les thons, de par leur grande taille, leur hydrodynamisme et leur bonne vision, sont des nageurs très rapides. Bien qu'ils soient poïkilothermes, ce sont les seuls poissons, avec certains grands requins, qui possèdent un système d'échangeurs de chaleur leur permettant de conserver au chaud leurs muscles et leurs viscères. Ce système est basé sur le contact entre des capillaires veineux, dont le sang est réchauffé par l'activité musculaire, et des capillaires artériels, dont le sang froid provenant des branchies se réchauffe au contact des capillaires veineux. Toutefois ce système n'est pas aussi élaboré chez toutes les espèces de thons et n'est pas aussi développé chez les jeunes que chez les adultes. Ce sont les grands thons rouges (pouvant dépasser 4 mètres et atteindre 700 kg) qui sont capables de fréquenter les eaux les plus froides, ils sont d'ailleurs pêchés jusqu'en Islande. À l'inverse de la plupart des espèces de poisson qui ont la chair blanche, celle des thons est souvent rose, du fait de leur importante vascularisation. Du fait de sa position de prédateur, et parce qu'il contient beaucoup de lipides, le thon rouge a tendance à accumuler des polluants tels que le mercure, métal très toxique.

Le thon est un infatigable migrateur, ce qui permet de le repérer lors des campagnes de pêche. Les bancs ou mattes rassemblent plusieurs milliers d'individus poursuivant des bancs de sardines, d'anchois, de sprats, de maquereaux, et méduses[3] dont ils se nourrissent.

Un aliment[modifier]

Le thon est une source de protéines et contient peu de cholestérol. Le thon regorge d'éléments nutritifs, dont le phosphore, le sélénium, les vitamines A et D, ainsi que celles du groupe B. Le thon rouge se démarque du thon blanc par sa teneur élevée en acides gras oméga-3 dont l'acide eïcosapentaénoïque (EPA) et l'acide docosahexanoïque (DHA)[4]. Des études montrent que la consommation de thon a des effets favorables sur la santé cardiovasculaire et réduirait la mortalité par maladie cardiovasculaire.

Pour des raisons de conservation, le thon est souvent commercialisé en conserve. Au Japon, le thon est consommé cru sous forme de sushi ou de sashimi, des formes de préparation qui tendent à se populariser en Occident ; la partie ventrale, ou thon gras, étant la plus appréciée. De nombreux pays du Pacifique, des côtes africaines et de la Méditerranée pouvant le consommer frais, de nombreuses recettes existent, y compris crue ou en marinade de citron (voir notamment poisson cru à la tahitienne).
Économie : pêche et élevage[modifier]
Les techniques de pêche[modifier]
La madrague[modifier]

La madrague (Almadraba en espagnol) est une technique de pêche au thon rouge traditionnelle en Méditerranée. Elle consiste à piéger des bancs de poissons au cours de leurs migrations le long des côtes. Des filets de grandes dimensions, appelés thonaires ou thonnaires ou thonares (tonnara en italien), sont disposés de manière à former un piège et à diriger les thons vers la « chambre de mort ». Les filets sont ancrés au fond et retenus en surface par des flotteurs. Lorsque des poissons sont pris, des bateaux viennent se placer tout autour de la chambre de mort, puis les filets sont relevés progressivement de manière à resserrer les thons sur quelques mètres carrés et la mise à mort (matanza en italien) intervient. Cette pêche artisanale, mais qui nécessite des moyens et de l'organisation, se pratique au printemps et en été, notamment au large des côtes de Sicile et de Tunisie. Son importance s'est tellement réduite qu'il ne reste plus qu'une poignée de madragues en Sicile alors qu'il y en avait plus de 250 dans les années 1960. Cette méthode archaïque et peu rentable survit grâce aux prix élevés consentis par les acheteurs japonais. Les Japonais consomment 15 % du poisson mondial, mais 90 % du thon rouge.

Il existe deux sortes de madrague : la madrague rentrante et la madrague sortante.

* La madrague rentrante (1 355 tonnes en 1992) piège les thons en mai et juin, à l'entrée du détroit de Gibraltar, au moment où ces poissons gagnent la Méditerranée pour frayer. On en dénombre quatre espagnoles (1 271 tonnes) et trois marocaines (84 tonnes).
* La madrague sortante (770 tonnes en 1992) se pratique sur les côtes méditerranéennes et à l'est de Gibraltar, quand les thons regagnent l'océan. Cinq pays sont concernés : Italie, Tunisie, Maroc, Libye et Espagne.

Les madragues font l'objet de critiques. Outre leur cruauté, on leur reproche de capturer les femelles au moment où elles vont frayer.
Les filets dérivants[modifier]

La pêche aux thonidés à l'aide de filets dérivants (ou filets maillants) a été interdite par l'Union européenne à compter du 1er janvier 2002. Il s'agit de filets flottants de très grande longueur (plusieurs kilomètres) dont les mailles ont été élargies pour capturer les espèces de grande taille comme les thons. On leur reproche leur manque de sélectivité (ils prennent aussi bien les dauphins et les tortues marines) et leur trop grande efficacité, dangereuse pour le maintien des ressources. Dans un premier temps, l'Union européenne avait réglementé leur longueur en fixant un maximum de 2,5 km, suivant en cela les recommandations de l'ONU. Cette mesure, d'ailleurs mal respectée, s'est avérée inefficace.
Les appâts vivants (pêche à la canne)[modifier]

Cette pêche, créée au Portugal en 1926, a été ensuite développée en Californie avant de se développer en Europe dans les années 1950, notamment au Pays basque. Cette technique de pêche consiste à capturer et à conserver vivants de petits poissons tels que des sardines ou des anchois, que l'on utilisera comme appâts après avoir repéré un banc de thons. Les thons sont ainsi pêchés à la canne.

Le but est d'attirer le thon rouge le plus près du bateau et de l'y maintenir en lançant des sardines ou des anchois vivants. Les pêcheurs mêlent à leurs appâts des hameçons sans ardillon au bout de lignes. Les canneurs peuvent alors ferrer leur proie. Des jets d'eau aspergent la surface de l'eau simulant le frétillement des sardines et dissimulant les pêcheurs. Les thons excités deviennent plus facile à attraper. La pêche à la canne tend à disparaître en France, mais reste pratiquée en Afrique ou dans les pays du Pacifique qui disposent de grandes ressources en appâts vivants.
La senne[modifier]
Article détaillé : senne (halieutique).

C'est l'engin de pêche utilisé majoritairement sous les tropiques par les flottilles de thoniers-senneurs congélateurs. Ce sont de puissants navires de 50 à 120 mètres munis de moteurs de 4 000 cv. Ils filent 16 nœuds et sont équipés pour détecter les bancs de thons grâce à de l'électronique (radar, sonar), des nids de pie et quelquefois des hélicoptères.
Banc de bonites rayées

La senne utilisée est un filet gigantesque largué en arc de cercle autour du bateau. Elle peut recouvrir jusqu'à 21 hectares soit deux fois la superficie de la place de la Concorde. Seuls les quais de Dakar, Abidjan ou de Pointe Noire (en Afrique de l'ouest) sont assez vastes pour les déployer en cas de grandes réparations. La campagne de pêche peut durer jusqu'à 45 jours (des milliers de milles parcourus). Les bancs de thons sont souvent repérés par des hommes munis de puissantes jumelles dans leurs nids de pie (les hommes d'équipage repèrent les oiseaux qui se regroupent au-dessus des bancs, ou les thons qui sautent au-dessus de la surface. Les radars modernes arrivent à détecter les oiseaux à très grande distance). Une fois repéré, le thonier doit se placer à moins de 10 m sur la droite du banc dans la même direction et à la même vitesse. Au bon moment, le thonier largue son skiff, entraînant la senne et tente de contourner le banc. L'encerclement et la capture durent en général plus d'une heure. Le filet est maintenu à l'eau et les poissons sont récupérés à l'aide d'une grande épuisette que l'on appelle la salabarde, elle est manœuvrée par un palan. Les poissons sont alors immédiatement plongés dans les cuves du bateau, remplies de saumure réfrigérée. Un seul coup de senne peut permettre de capturer jusqu'à 200 tonnes de thons et la manœuvre dure jusqu'à 15 heures.

Cette technique s'est développée dans les années 1950 sous l'impulsion de quelques pêcheurs français. La saison du passage du thon dans les eaux côtières du golfe de Gascogne est courte et ne dure que 4 à 5 mois. C'est sur ce constat que trois canneurs basques ont décidé en 1955 d'aller vers le Sénégal où la sardine et l'albacore sont abondants en hiver. Dès 1956, ce sont 25 équipages qui mettent le cap au sud accompagnés d'un chalutier servant de congélateur. En 1961, le "Curlinka" utilise la première senne et en 1963, le premier thonier-senneur "Île des Faisans" s'équipe à l'arrière d'un fort canot, le skiff, destiné à la manœuvre du filet. C'est le début de la pêche industrielle du thon. Le marché européen en consommait en 1960 160 000 tonnes. Espagnols et Français en produisaient 110 000 tonnes, il y avait donc un marché de 50 000 tonnes à conquérir. Ce fut la course aux investissements. Mais, très vite, le marché devient saturé et le cours du thon s'écroule. Les ressources s'épuisant sur les côtes d'Afrique de l'ouest, la flotte française se redéploie en 1985 dans l'océan Indien.

Les pêcheurs traditionnels sachant de façon empirique que les thons se rassemblent sous des objets flottants (bois flottant, vieux cordages, mammifères marins), cette observation a été appliquée à la pêche industrielle par les grands thoniers senneurs. Profitant de ce comportement agrégatif, encore mal expliqué, ils laissent dériver au grès des courants, des radeaux flottants équipés de bouées (DCP). La senne (gigantesque filet) est alors déployée de part et d’autre de l’embarcation, encerclant le banc de thons venu se réfugier sous le DCP. Au début des années 1990, constatant la prise excessive de juvéniles dans ce mode de pêche, les scientifiques, de l'IRD notamment, ont étudié les relations entre les espèces de thons tropicaux et ce dispositif de pêche et ont mis en question la possibilité de piège écologique. En effet, l'étude de la pêche au thon tropical La pêche sous objets flottants dérivants, danger pour la survie des thons tropicaux a révélé que les dispositifs de concentration de poissons (DCP) dérivants semblaient agir sur les thons de façon très attractive, les piégeant puis de les entraînant vers des zones écologiques peu favorables où la nourriture serait moins abondante. L'IRD recommande donc la prudence dans la gestion de la pêche industrielle car selon l'organisme malgré le faisceau de présomptions, les études ne permettent pas de certifier l'impact négatif des DCP sur l’ensemble du cycle de vie des espèces suivies et donc s’ils constituent un véritable piège écologique. Au regard des effets biologiques observés, l'IRD conseille que les DCP dérivants ne soient pas déployés près des côtes où se concentrent les juvéniles de thons pour éviter d’entraîner les jeunes poissons - avenir du stock- hors des zones favorables.
La ligne[modifier]

Le thon peut être péché à la ligne traînante (« pêche à la traîne »). Cette technique a été très utilisée par les pêcheurs bretons et du Pays basque qui savaient où traîner leurs lignes grâce à plusieurs signes :

* le bouillonnement de la surface dû aux mouvements des thons lors de leurs chasses aux sardines ;
* le claquement du sillage de thons dans les vagues ;
* comme une tâche d'huile, le banc de thons serrés en surface freine le clapot de la mer.

Le thon blanc est traqué de mai à septembre dans l'Atlantique. Les ligneurs parcourent le golfe de Gascogne et l'ouest de l'Irlande.

Les thonidés peuvent également être pêchés à la canne, sur des bateaux de faible tonnage comme les bonitiers, lorsque le banc se nourrit en surface. Les hameçon sont alors dépourvus d'ardillon afin de permettre un décrochage automatique lorsque le poisson retombe sur le pont du navire de pêche. Ce type de pêche côtière journalière est fréquemment pratiquée dans les zones insulaires tropicale.

Des navires de moyens à gros tonnages pratiquent également la pêche à la palangre pour capturer des thons qui sont congelés ou entreposé sur un lit de glace au cours de campagnes de pêches de quelques jours à plusieurs semaine. Ce type de pêche est pratiquée par exemple dans le Pacifique sud[5].
Enjeu économique et surpêche[modifier]
Articles connexes : Surpêche et thon rouge.

Ce sont les industries de la congélation et de la conserverie qui règlent l'exploitation de la plupart des espèces de thon (germon, albacore..) exception faite du thon rouge qui est dans sa quasi totalité vivant après la pêche. Plus que tout autre, le thon rouge a une grande valeur commerciale et intéresse de nombreuses pêcheries internationales. La pêche au thon est une pratique très ancienne et n'était qu'une pêche d'appoint jusqu'aux années 1950. Avec la mise au point d'outils plus performants[6]. Cette modernisation a rendu plus efficace le recherche du poisson qui ne se basait avant que sur l'instinct du capitaine, elle a permis également de minimiser les pêches accessoires et sous taille.
La pêche au thon.

Le niveau actuel de pêche du thon rouge est évalué à 50 000 tonnes annuelles en Atlantique et Méditerranée (pour un quota de 29 500 tonnes), alors que le taux de prises permettant le renouvellement est estimé à 15 000[7], ce qui a déjà contribué à la disparition du thon rouge dans l'ouest de l'océan Atlantique. Actuellement le même sort est promis au thon rouge de la Méditerranée d'ici trois à cinq ans si aucune mesure n'est prise contre la surpêche[8].

Une étude de Greenpeace en 2010 révèle que près d'un tiers des boîtes de thon en vente sont mal étiquetées ou contiennent un mélange d'espèces (thon listao, thon obèse et thon albacore, y compris des juvéniles d'espèces en déclin) dans le même contenant, pratique interdite dans l'Union européenne[1].
Élevage[modifier]

L'élevage de thon se développe même s'il s'agit en fait d'engraisser des poissons collectés lors des saisons de pêche pour ensuite les vendre sur le marché japonais. Les thons sont capturés par des thoniers-senneurs puis ils sont installés dans des cages circulaires de 200 000 m³ et nourris avec des poissons fourrages (sardines, maquereaux). Les jeunes thons ont des performances d'engraissement importantes avec une croissance de 5 kg par mois au cours de l'été. Ils sont maintenus dans des cages dont la densité est de 2 à 4 kg par m³. La Croatie et l'Australie sont les leaders de ce marché. La reproduction en captivité est maîtrisée en recherche mais n'est pas appliquée à grande échelle

ctrl+c/ctrl+v

:yet
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Re: La Tanche une bien belle bête

Messagepar kurios » 26 Aoû 2011 08:09

Quand tu copies un truc sur wiki tu pourrais faire l'effort de le signaler et de supprimer les trucs inutiles ( "[modifier]" "ctrl+c/ctrl+v" etc) et pis là ça manque franchement d'humour...
Et paf!
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Re: La Tanche une bien belle bête

Messagepar Epitaf » 26 Aoû 2011 08:22

kurios a écrit:et pis là ça manque franchement d'humour...


S'en est pas.
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Re: La Tanche une bien belle bête

Messagepar DEH » 26 Aoû 2011 11:36

C'est le problème avec le thon, on a tendance à en faire des t(h)onnes!
Parler pour ne rien dire et ne rien dire pour parler sont les deux principes majeurs et rigoureux de tous ceux qui feraient mieux de la fermer avant de l'ouvrir - Pierre Dac
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Re: La Tanche une bien belle bête

Messagepar TORNACUM » 26 Aoû 2011 12:33

la définition du boulet … on la trouve où déjà ?
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Quand les mots perdent leur sens, les gens perdent leur liberté ( Confucius )
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Re: La Tanche une bien belle bête

Messagepar Sinclair » 26 Aoû 2011 14:14

Gilles Roussel, alias Boulet, né le 1er février 1975 à Meaux, est un auteur de bande dessinée français.

Après un passage aux Beaux-Arts de Dijon, fait des études graphiques aux Arts décoratifs de Strasbourg dont il est diplômé en 2000, dans l'atelier illustration fondé par Claude Lapointe. Il se trouve dans la même promotion que Erwann Surcouf, Lisa Mandel, Lucie Albon, Reno et Nicolas Wild.

Dès 1998, à la suite d'un concours de bande dessinée organisé par le festival de Sierre, il est remarqué par Zep, auteur de Titeuf, et Jean-Claude Camano, rédacteur en chef du magazine Tchô ! qui vient d'être lancé. De 1998 à 2001, il réalise donc de nombreuses pages pour ce nouveau magazine. En 2001, il publie sa première bande dessinée, Raghnarok. Suivront ensuite plusieurs séries, toutes publiées par Tchô ! : La Rubrique Scientifique, Le Miya et Womoks (avec Reno au dessin). Il débute ensuite en juillet 2004 un blog dessiné sur internet, et ce média lui permet de se faire rapidement connaître. Il participe toujours régulièrement au magazine Tchô ! et a fait une ou deux apparitions dans les magazines Psikopat et Spirou.

Il a également co-fondé le blog collectif chicou-chicou en 2006 avec Domitille Collardey, Olivier Tallec et Aude Picault. Ont également rejoint l'aventure par la suite Lisa Mandel, Erwann Surcouf et Ohm. Le blog s'est achevé en 2008 et a été suivi d'une publication en album aux éditions Delcourt, collection Shampooing. Il incarnait dans ce blog Ella Forbin une jeune femme aux cheveux roses, petite et un peu geek, dont on suivait les aventures à Château-Gontier.

Il a aussi pris la suite de Lewis Trondheim pour le dessin de la bande dessinée Donjon Zenith.

La popularité de son blog sur Internet en a fait le parrain de la première édition du Festival des blogs BD à Paris, en 2005. Les dessins réalisés pour son blog ont commencé à être publiés en 2008, sous forme d'albums portant le titre Notes.
Avertissement: ce message peut contenir du second degré!

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Re: La Tanche une bien belle bête

Messagepar jojopointcom » 26 Aoû 2011 14:16

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Re: La Tanche une bien belle bête

Messagepar VAMOS » 26 Aoû 2011 15:26

Tiens je pensais que la tanche c'était pas terrible (la faute de LA FONTAINE)

"Moi des Tanches dit il , moi Héron que je fasse
Une si mauvaise chère ?Et pour qui me prend on ?
La Tanche rebutée il trouva du Goujon.……."

mais les photos montrent un beau poisson ! :)
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Re: La Tanche une bien belle bête

Messagepar TORNACUM » 26 Aoû 2011 18:22

Bien … mais c'était plutôt le truc sphérique, lourd, attaché à une chaîne et qu'on balade à sa cheville …

:cpf:
La perversion de la Cité commence avec la fraude des mots ( Platon)
Quand les mots perdent leur sens, les gens perdent leur liberté ( Confucius )
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Re: La Tanche une bien belle bête

Messagepar Mono » 26 Aoû 2011 20:10

Tout ça sa donne soif, Jvais l'étancher.
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Re: La Tanche une bien belle bête

Messagepar Epitaf » 26 Aoû 2011 21:37

Doit y avoir un filtre à refouler les cons...

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Re: La Tanche une bien belle bête

Messagepar kurios » 26 Aoû 2011 22:34

:idéepuisnon:
Et paf!
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