Hoplo-culture …

[thom]

Ils savaient bosser a l'époque. Les détails sont sublimes.

[The Dwarf]

batardeau? Google ne me montre que le batardeau qui fait office de barrage... Qu'est-ce donc ici, Stan?

[karlkruzer]

trouvé sur le net (Si tu mets dans ton moteur de recherche: batardeau couteau) :
Petit couteau, petit poignard renfermé dans la gaine d'une dague ou parfois d'une épée

[The Dwarf]

J'aurais du essayer... enfin bref, merci.

[stancaiman]

oui dague, poignard de chasse, petit(s) couteau(x) [ batardeau(x)] et fourchette [enfin l'équivalent de l'époque à deux piques] - à l'époque ces ustensiles étaient plutôt chers et chacun se les trimbalait sur lui (enfin quand ils en avaient les moyens)

[Méléagant]

Superbe en tout cas

[littlecity]

http://www.googleartproject.com/museums/frick/the-forge-20
On peut zoomer jusqu'à voir les touches de pinceau...

[djinnzfree]

une image qui provient du monde fantastique de 4chan... pas de nom d'artiste... Alice au pays des ….

[littlecity]

Il me plaît bien le couteau... Y'a personne pour me le faire en C130?

[Scramasax]

Alfred Sisley
Pommes et raisins dans un panier, 1880
Huile sur toile, 46 x 61 cm
© Sterling and Francine Clark Art Institute, Williamstown, Massachusetts, USA

Exposé jusqu'au 31 octobre 2011 au musée des impressionnismes à Giverny

[TORNACUM]

Ouaaaaaaaa , un canif ….
la lame est à la d'Estaing ?

[Scramasax]

Ouais, ouvert pour éplucher les pommes, fermé pour éplucher les raisins

[littlecity]

Vue un peu plus en détail (sorry pour le tramage: on est membre du PPP ou on ne l'est pas, hein):


Cristoforo Monari (1667-1720)
Nature morte (1710), huile sur toile,
Musée Pouchkine, Moscou.
cette nature morte représente les instruments de l'épistolier. Pour tailler les plumes, couper les feuilles, etc., un joli canif...

[AL 1]

…… Pour tailler des plumes, …

ha ! ha !


mais ça doit faire mal ?

[Alexandre17]

(J'espère que ce ne sont pas des reposts...)

Sur les images ci-dessous, on voit nettement Ravaillac faire son foufou pour passer à la télé (il est en état d'arrestation sur la troisième image).

Soit dit en passant, Ravaillac est un maniaque du custom. "Quelques semaines avant le crime, Ravaillac vole un couteau dans une auberge dans le but de tuer le roi. Il change d'avis plusieurs fois et, décidé à retourner dans ses terres natales, abîme volontairement l'arme à Étampes. Convaincu de nouveau de la nécessité de son acte, il y répare le couteau et fait demi-tour vers Paris." (Wikipedia)

Et soit dit en passant aussi, le couteau de Ravaillac est probablement le couteau le plus célèbre de l'histoire de France. On voudrait tout savoir sur l'objet. Tactique à ouverture assistée ? Bowie ? Ancien François de Perceval ? Apparemment, c'est plutôt un céramique japonais...
"A droite de l’église, dans la Grand’Rue de Vivonne, on remarquait il y a peu de temps un hôtel-restaurant portant un nom étrange : «Le Ravaillac» En entrant dans le sanctuaire dédié à Saint-Georges, derrière la porte à droite, au-dessus d’un bénitier, se trouve un encadrement contenant une notice historique du monument. Il y est dit notamment : Ravaillac à son procès a déclaré que de passage en l’église de Vivonne, il avait eut une vision en forme d’un « More » dans un triangle, et il en avait conclu qu’il devait aller tuer le roi Henri IV. La note datée du 8 septembre 1945, porte la signature du chanoine Hilaire Baudouin, curé-doyen de Vivonne : elle rappelle donc le passage de Ravaillac à Vivonne, mais la légende va beaucoup plus loin que l’histoire. Voici ce que rapporte la tradition locale selon Roland Engerand... En un après-midi d’avril de l’an 1610, un moine roux, tout déguenillé, aux joues creuses et au regard fébrile, contemplait dans l’église de notre paroisse, un grand tableau – qui se remarque encore aujourd’hui dans ce sanctuaire – représentant Saint-Georges terrassant le dragon. Le morbide Feuillant fixait avidement cette peinture sans la quitter un instant du regard. Dans ses yeux passaient de sombres lueurs… Il resta longtemps ainsi… Et puis, vaincu par la fatigue, il s’assoupit. A son réveil, il reprit sa contemplation, en proie à une sorte de hantise… Cet homme se nommait François Ravaillac… Ce fanatique visionnaire, qui d’Angoulême se dirigeait vers Paris et qui considérait le Béarnais comme le dragon de l’hérésie, puisait dans ce tableau, à travers le geste de Saint-Georges, l’ordre de transpercer le monarque qu’il soupçonnait de vouloir faire la guerre au pape. Sortant brusquement de l’église, il entra dans l’hôtellerie de la Croix-Blanche – qui abrite toujours sa façade en colombage à l’ombre du clocher – et, sous couvert de mendier un morceau de pain, il réussit à soustraire un couteau de cuisine qui, le 14 mai suivant, lui servit à poignarder le roi de France. Ces faits ont, d’ailleurs, été relatés à son procès." (http://www.vivonne.fr)

Moi, je serais coutelier, je lancerais "Le Ravaillac". Et son étui s'appellerait "Le Henri IV". Ça ne ferait peut-être pas un succès, mais ça ferait causer dans toute la presse spécialisée. Comment se faire remarquer à peu de frais.