rahansor a écrit:J' ai vu il y a peu un pliant que j'ai fait il y a environ 6 mois, sur un groupe de ventes aux enchères, ça m'a fait un drôle d'effet...
couteau jamais utilisé, mis à prix 390€ (hors fdp), avec un commentaire où le vendeur explique que ça lui fend le coeur, toussa.…
Le gars a sans doute besoin sous, et j'ai appris le détachement, une fois que le couteau a quitté mon atelier, il fait sa vie ce n'est plus mon pb.…
C'est plutôt le mode de vente là qui m'a fait bizarre.… Le couteau à la base je l'ai vendu 440€ hors fdp...
Je ne comprends pas trop pourquoi le gars le revend aux enchères, si ce n'est pour faire une plus-value.…. Le gars pouvait le revendre au prix d'achat puisqu'il est resté dans une vitrine ou un tiroir...
Je suis la vente de près, ça m'intéresse de voir à combien il va partir... un beau spécimen, beau sandwich et beau buis.…
Et ce sera peut-être l'occasion de revoir mes prix.… Je plaisante, mais qu'à moitié….
Je n'en veux en aucun cas au vendeur, mais c'est la pratique qui m'interpelle.… ce sentiment qu'on peut se faire de la thune sur mon dos, alors que s'il y a les épinards, il n'y a pas souvent le beurre pour mettre dedans...
Celà dit ce n'est pas gagné qu'il fasse une plus value non plus...
z'en pensez quoi vous?
stephane_ a écrit:La différence c'est peut-être que celui qui achète pour revendre (l'intermédiaire inutile qui fait monter les prix) est vraiment un parasite, alors que le collectionneur qui se lasse d'une pièce ou qui a besoin de blé peut revendre son bien, selon moi y'a rien à redire, même s'il vend à la cote.
DiZ a écrit: (en business plus classique on appelle cela une boutique )
SimonC a écrit:DiZ a écrit: (en business plus classique on appelle cela une boutique )
Pas faux, mais pas complètement vrai non plus.
La boutique va acheter à prix réduit pour revendre à peu près au prix publique ou à peine plus haut.
Le parasite, comme dit Stéphane, achète à prix publique et revend plus cher, ce qui engendre une "cote argus" erronée.
stephane_ a écrit:SimonC a écrit:DiZ a écrit: (en business plus classique on appelle cela une boutique )
Pas faux, mais pas complètement vrai non plus.
La boutique va acheter à prix réduit pour revendre à peu près au prix publique ou à peine plus haut.
Le parasite, comme dit Stéphane, achète à prix publique et revend plus cher, ce qui engendre une "cote argus" erronée".
Sans parler de l'utilité sociale de la boutique (emploi, charges, …)
Et à partir de 9h22 je voyais mon Guy derrière sa table vide, tout sourire dehors, qui regardait le monde passer devant lui sans lui adresser le moindre mot … Ça m'a fendu le cœur, vraiment.
SimonC a écrit:DiZ a écrit: (en business plus classique on appelle cela une boutique )
Pas faux, mais pas complètement vrai non plus.
La boutique va acheter à prix réduit pour revendre à peu près au prix publique ou à peine plus haut.
Le parasite, comme dit Stéphane, achète à prix publique et revend plus cher, ce qui engendre une "cote argus" erronée.
stephane_ a écrit:Sans parler de l'utilité sociale de la boutique (emploi, charges, …)
Quincey a écrit:Tout-à fait d'accord avec SimonC et stephane_, l'intermédiaire parasite qui se graisse sciemment sans en foutre une, on s'en passe très bien. En revanche la boutique et tout ce qui humainement et économiquement va avec c'est très important cela apporte un bénéfice mutuel à plusieurs acteurs.
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