Renô a écrit:ilium a écrit:Renô a écrit:Lui, n'a pas vu arriver ce que tout le monde pressentait ( anciens joueurs, entraîneurs, journalistes, le petit gars du café des sports, vous, moi ).
l Evidemment, après la victoire, il était temps de retourner sa veste et de féliciter le grand homme, mais les faits sont tétus et "ce que tout le monde pressentait", c'était de la merde en branche.
"pressentait"
Euh... va falloir m'expliquer la différence.
Et à l'inverse d'Aimé Jacquet qui avait un vrai passé d'entraîneur, et qui n'avait contre lui qu'une partie de la presse, je crois que le sieur Domenech fait l'unanimité et pas seulement depuis le début de la coupe du monde.
Foutaise. Domenech ne fait pas l'unanimité contre lui et accessoirement, c'est rarement technique, c'est plutôt le bonhomme et sa manière de communiquer qui énerve quelques journalistes qui utilisent donc le pouvoir dont ils disposent pour lui savonner un peu plus la planche. Quant aux millions de moutons qui suivent la vague médiatique... maintenant que c'est mort, ils peuvent se lacher mais si ça s'était inversé, le festival de pirouettes aurait commencé.
Je le répète: le Canard annonce qu'il aurait des résultats tout à fait honorables dans l'histoire des sélectionneurs (il a par exemple amené la France en finale en 2006)… mais bon, c'est la France, i.e. le pays qui n'a pitoyablement gagné qu'une coupe du monde sur 19 éditions (et est arrivé 1 fois en finale par ailleurs). Ce n'est pas parce que les grenouilles se gargarisent encore de 1998 qu'il faut oublier que c'est une exception (un accident?
) et que le Brésil avec 5 victoires ou l'Italie avec 4 nous mettent minables. Bref, je trouve facile d'utiliser l'entraineur pour excuser ce qui est un naufrage collectif.
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