bob comtemplait son nouveau Wenger, encore un Ranger, mais bien plus fin... tellement plus agréable pour le dissimuler...
la lame droite etait parfaite pour les usages quotidiens du camps, chasser le rat et la chauve-souris …
bien plus simple pour l'aiguiser que la précédente lame dentelée.
Le systeme de linerlocker etait identique.
Bob nota un jeu important lorsque la lame etait ouverte, la pointe remontant d'un mm avant d'etre bloquée.
un bon crantage du début de dos de lame et une finition des angles moins "aigûe" était aussi appréciable (sauf pour ceux qui veulent l'utiliser sur un fire-steel, bien sur
).
l'émouture de pointe était mieux terminée mais néanmoins loin d'etre parfaite, nota Bob, qui s'en servait pour creuser un tunnel, au nez et à la barbe de l'hydre communiste...
deux accessoires de part et d'autres complétaient le couteau, le cruciforme étant parfois remplacé par un tire-bouchon, mais qui a besoin d'un TB, dans un camp en sibérie, hein?
le poinçon lui avait mainte fois servit pour se recoudre la couenne, grace au chat d'aiguille usiné dans celui ci.
La scie, au milieu du couteau, etait longue et puissante, parfaite pour les évasions nocturnes...
et enfin, Bob remercia Wenger d'avoir conçu un tournevis décapsuleur le sécurité, puisque quand il appuyait horizontalement, celui ci "s’enfonçait" et se lockait dans le manche, pour ressortir en fin de pression...
Parfait pour dévisser "en force" les grosses vis rouillées qui tenaient les barreaux...
"et hop, enfin libre!
" murmura Bob
Ce couteau : comme icone, objet de discussion et signe de l'inutilité qui rend notre esprit heureux je te le conseille et pourqoui pas la vie est déjà triste et réaliste assez.