- Je fais les "natives" en premier (cercles, lignes qui s'entrecroisent, tracés natifs avant leur vectorisation si je veux les transformer en éléments solides).
- Je duplique le calque. Je passe le tout au pathfinder et ne garde que ce qui m'intéresse.
- Cela me permet de reprendre les tracés natifs si je veux des modifs, reprendre une coupe, un rayon plus prononcé, etc.
Je recommence alors l'opération.
- Depuis là, je peux faire tout le rendu sur Illustrator mais j'utilise aussi photoshop (plus pratique pour passablement d'opérations). Je passe de l'un à l'autre. On arrive alors à la version présentée.
- Une fois le concept validé, j'exporte les tracés (que j'ai placé sur un nouveau doc) en DXF ou DWG (les deuxièmes sont souvent de meilleure qualité). Je fais deux doc: 1 fois les "natives", une fois la pièce définie, "découpée" au pathfinder.
J'ouvre dans Solidworks ou AliasStudio.
Cela dépend de ce que je fais: si c'est juste pour du visuel, rapide, j'utilise le tracé découpé pour construire. Si je veux quelque chose de précis, de passer en industrialisation, je reconstruis tout à partir des "natives".
Je balbutie encore sur SW, j'utilisais un surfacique (Alias ou Rhino) avant. Je suis retourné à un paramétré, car dans le domaine ou je bosse, c'est plus pratique. On évite alors que les opérateurs s'énervent sur des splines complexes et vomissent sur le designer
Le surfacique, c'est très bien pour le moule d'injection, mais pour faire de la pièce mécanique, c'est moins le top.
Voilà.