Bandit a écrit:Et comme tu juges que son raisonnement n'a pas de valeur, je suis curieux de lire ton protocole précis pour comparer des aciers dits durs et mous et tes conclusions.
J'en revient toujours pas de lire ce genre de choses.
Des "protocoles"….

Comparer des aciers, en coutellerie, …, c'est pas comme si n'avait jamais été fait...
Avant d'être un objet de collection, le couteaux était un objet utilitaire dont la fonction était de couper.
Donc, ce qui compte le plus est que ça coupe bien.
Là, il n'y a pas de secret, il faut que ce soit mince, très mince.
En pratique, il faut en plus que ce soit facile et rapide a affuter.
Et évidement aussi, que ça ne casse pas trop facilement.
Ces conditions s'opposent a la mise en oeuvre d'aciers très durs, riches en carbone et faiblement revenus.
Si pour des raisons obscures, on le fait quand même , on obtient des tranchants qui s'effritent ou bien il faut artificiellement augmenter l'épaisseur du tranchant jusqu'à ce qu'il coupe difficilement.