Ayons une pensée émue pour ce pauvre Michel.
En effet, ses pauvres doigts engourdis par le froid, il est dans l’impossibilité de manipuler les divers boutons de sa fraiseuse.
C’est bête si proche du but !
De plus les larmes de joie coulant le long de ses joues rose se sont peu à peu transformées en longues coulées de glaces, l’empêchant ainsi d’arborer le sourire radieux de circonstance.
Je ne vous parlerai par des divers goutes au nez et autres extrémités endolories par le froid, ceci ne nous regarde pas !
J’vous l’dit, on est jamais récompensé par ses efforts.
Bon trêve de plaisanterie, Michel, elle fonctionne la fraiseuse ?