Osez presenter vos Bowies, j'assume

[stancaiman]

ça se fait à chaud

[Blue Dog]

Salut Stan, tu aurais des infos sur cette technique

[Ghjallone]

ben tu chauffe la corne dans un bain d'huile, et tu la travaille, je crois.
mais ca a tendance a revenir en place au bout d'un moment, c'est por ca que les meilleurs manches en corne sont travaillées dans la masse sans déformer la corne...

[Blue Dog]

Merci pour l'info!



La partie corne du manche (hors intercalaires) fait 10 cm de long pour 3 cm de diamètre à la garde et environ 4 au talon.

[stancaiman]

Salut Stan, tu aurais des infos sur cette technique

non, je ne sais pas du tout comment on fait dans le détail, je suis sur que c'est à chaud mais je ne sais pas si c'est trempé dans l'huile ou dans l'eau. Faut demander au pros

[CASH]

Huile, et ça pue...

[stancaiman]

la corne qui brule ça pue toujours

[CASH]

La corne qui chauffe aussi.… Pouah!

[Efix]

Il y a plusieurs techniques utilisée notamment à Thiers, par les cacheurs de corne, c'est le nom de cette profession. J'ai vu pratiquer René Bost, il travaille sans eau ni huile, mais presse la corne dans des moules en métal chauffés.
On peut la ramollir dans l'eau bouillante aussi. Pour Ghjallone, je l'ai vu faire en Corse, sur des cornes de bélier, de bouc et de chèvre, pareil, à l'eau bouillante, et serrage entre deux plaquettes à l'étau (Franck Thomas le faisait pour ses curnicciulu.
A l'huile, je ne sais pas, mais pourquoi pas. Par contre, pour en avoir travaillé un peu chez Citadel au Cambodge, je pense que pour arriver à torsader de la corne, il faut certainement y aller par étapes successives. ça ne reste pas "souple" très longtemps.

[Vulpes]

Ca compte ca? c'est un Bôôôôôôôôôôôwie , parcequ'il est bôôôôôôôôôôô et efficace!

[SOD]

c'est peut etre un Bowie

En tout cas il est chouette

[CASH]

En plus, c'est Déo qui assume...
Beau biniou!

[Ghjallone]

Il y a plusieurs techniques utilisée notamment à Thiers, par les cacheurs de corne, c'est le nom de cette profession. J'ai vu pratiquer René Bost, il travaille sans eau ni huile, mais presse la corne dans des moules en métal chauffés.
On peut la ramollir dans l'eau bouillante aussi. Pour Ghjallone, je l'ai vu faire en Corse, sur des cornes de bélier, de bouc et de chèvre, pareil, à l'eau bouillante, et serrage entre deux plaquettes à l'étau (Franck Thomas le faisait pour ses curnicciulu.
A l'huile, je ne sais pas, mais pourquoi pas. Par contre, pour en avoir travaillé un peu chez Citadel au Cambodge, je pense que pour arriver à torsader de la corne, il faut certainement y aller par étapes successives. ça ne reste pas "souple" très longtemps.

il me semble que Jean Francois Deak le fait a l'huile... mais pour aplatir les cornes, pas les torsader, ca demande peut etre moins de maléabilité

[Blue Dog]

Il y a plusieurs techniques utilisée notamment à Thiers, par les cacheurs de corne, c'est le nom de cette profession. J'ai vu pratiquer René Bost, il travaille sans eau ni huile, mais presse la corne dans des moules en métal chauffés.
On peut la ramollir dans l'eau bouillante aussi. Pour Ghjallone, je l'ai vu faire en Corse, sur des cornes de bélier, de bouc et de chèvre, pareil, à l'eau bouillante, et serrage entre deux plaquettes à l'étau (Franck Thomas le faisait pour ses curnicciulu.
A l'huile, je ne sais pas, mais pourquoi pas. Par contre, pour en avoir travaillé un peu chez Citadel au Cambodge, je pense que pour arriver à torsader de la corne, il faut certainement y aller par étapes successives. ça ne reste pas "souple" très longtemps.

[stancaiman]

j'imagine que c'est comme pour le verre : tu chauffes, tu formes, tu chauffes...