
Bigsam a écrit:Les vielles discussions de comptoir, j'te jure !!!![]()
En revanche là je ne comprends pas...

???
Bigsam a écrit:Les vielles discussions de comptoir, j'te jure !!!![]()
oufti a écrit:Est-ce que le nombres de tués reprend les morts "non sur le coup", c'est à dire ceux qui meurent plus tard, à l'hôpital, quand on arrête de s'acharner ?
Lolo94 a écrit:… C'est sûrement là que le facteur humain intervient.
deovolens a écrit:Les tests du gros Noss sont aussi significants que celui-ci: Tiguan neuve (bon crashestest) Vs Léopard II
http://www.youtube.com/watch?v=TbZnxGLtMJE
DagueHaubert a écrit:C'est une légende.
Enfin Leibniz disait qu'en réalité (Lettres à Huygens et numéro 12 du Journal des savants de Paris) c'était le résultat de la mixtion d'une mouette mélanocéphale (Larus melanocephalus) qui a tendu malicieusement son cloaque en direction de la tête de Newton en pleine sieste post-digestive sur un quai de la Tamise.
Il est vrai que c'est moins glorieux et que le coup de la pomme est plus rapide à expliquer à des mioches de sixième, qui seraient passablement excités par la description de l'incident réel.
Buffon a écrit:La petite Mouette cendrée.
Quatrième espèce
La différente couleur de ses pieds, et une plus petite
taille, distinguent cette mouette de la précédente, à laquelle du reste elle ressemble parfaitement par les
couleurs ; on voit le même cendré-clair et bleuâtre sur le manteau, les mêmes échancrures noires tachetées de blanc aux
grandes pennes de l’aile, et enfin le même blanc de neige sur tout le reste du plumage, à l’exception d’une
mouche noire que porte constamment cette petite mouette aux côtés du cou derrière l’œil ; les plus jeunes ont,
comme pour livrée, des taches brunes sur les couvertures de l’aile ; dans les plus vieilles les plumes du
ventre ont une légère teinte de couleur de rose, et ce n’est qu’à la seconde ou troisième année que les pieds
et le bec deviennent d’un beau rouge, auparavant ils sont livides.
la mouette mélanocéphale et la mouette rieuse, sont les
deux plus petites de toute la famille ; elles ne sont que de la grandeur d’un gros pigeon avec beaucoup moins
d’épaisseur de corps ; ces mouettes cendrées n’ont que treize à quatorze pouces de longueur, elles sont
très-jolies, très-propres et fort remuantes ; moins méchantes que les grandes, et sont cependant plus vives ;
elles mangent beaucoup d’insectes ; on les voit, durant l’été, faire mille évolutions dans l’air après les
scarabées et les mouches ; elles en prennent une telle quantité, que souvent leur œsophage en est rempli
jusqu’au bec ; elles suivent sur les rivières la marée montante, et se répandent à quelques lieues
dans les terres, prenant dans les marais les vermisseaux et les sangsues, et le soir elles retournent à la
mer. M. Baillon qui a fait ces observations,
ajoute qu’elles s’habituent aisément dans les jardins et y vivent d’insectes, de petits lézards et d’autres
reptiles. Néanmoins on peut les nourrir de pain trempé, mais il faut toujours leur donner beaucoup d’eau,
parce qu’elles se lavent à chaque instant le bec et les pieds ; elles sont fort criardes, sur-tout les jeunes
; et sur la côte de Picardie on les appelle petites miaulles.
M. Baillon précise qu'à l'occasion de leurs passages au-dessus du promeneur ou du pêcheur assoupi il leur
arrive de lâcher adroitement le contenu de leur poche stomacale, lequel contenu s'échoue avec une satisfaction
généralement non partagée sur le premier obstacle humain venu, à savoir un crâne. C'est ainsi que notre confrère
et néanmoins alchimiste M. Newton en a fait l'historique expérience qui lui a valu l'illumination relative à la Loi de la
Gravité.
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