Affutage pour les novices

[Crocuta]

[Hubert T.]

Pis ça impressionne les gonzesses

Moyennement.
D'ailleurs, j'ai bouffé au resto avec une fille tout à l'heure, inconsciemment je sors le dernier couteau que tu m'as fait, et elle m'a regardé d'un drôle d'air, comme regarde la baronne le paysan qui se mouche dans sa robe.
Je demande remboursement (ou je le vends à l'interessé, 300 balles, prix comptant, MP).

[duf666]

Oublie le z40 à mon avis.

Pour quelles raisons ?

[panerai]

Merci pour vos réponses mes bon seigneurs



Jacquou le Croquant.

[G-M]

Pis ça impressionne les gonzesses

Moyennement.
D'ailleurs, j'ai bouffé au resto avec une fille tout à l'heure, inconsciemment je sors le dernier couteau que tu m'as fait, et elle m'a regardé d'un drôle d'air, comme regarde la baronne le paysan qui se mouche dans sa robe.
Je demande remboursement (ou je le vends à l'interessé, 300 balles, prix comptant, MP).

Obligé de casser le prix. Dommage

[abouaswad]

ah ouais, ta cote est en baisse …
faudrait que tu penses à mourir un peu histoire de faire remonter les prix

[manda]

Pis ça impressionne les gonzesses

Hubert est très impressionné par les fils bien tranchants.

[spiralo]

Oublie le z40 à mon avis.

Pour quelles raisons ?

C'est d'la daube. Si c'est juste pour manger ça ira bien.

[littlecity]

Oublie le z40 à mon avis.

Pour quelles raisons ?

C'est d'la daube. Si c'est juste pour manger ça ira bien.

C'est plus mou que le douze?

[spiralo]

C'est pire que l'douze. Un douze bien traité ça passe franchement.

[Alexdeden]

Pis ça impressionne les gonzesses

Moyennement.
D'ailleurs, j'ai bouffé au resto avec une fille tout à l'heure, inconsciemment je sors le dernier couteau que tu m'as fait, et elle m'a regardé d'un drôle d'air, comme regarde la baronne le paysan qui se mouche dans sa robe.
Je demande remboursement (ou je le vends à l'interessé, 300 balles, prix comptant, MP).

Tiens ça me rappelle quelque chose :

Ce fut un dimanche de février, une après-midi qu'il neigeait.
Ils étaient tous, M. et Mme Bovary, Homais et M. Léon partis pour voir à une demi-lieue d'Yonville, dans la vallée, une filature de lin que l'on établissait. L'apothicaire avait emmené avec lui Napoléon et Athalie, pour leur faire faire de l'exercice, et Justin les accompagnait, portant des parapluies sur son épaule.
Rien pourtant n'était moins curieux que cette curiosité. Un grand espace de terrain vide, où se trouvaient pêle-mêle, entre des tas de sable et de cailloux, quelques roues d'engrenage déjà rouillées, entourait un long bâtiment quadrangulaire que perçaient quantité de petites fenêtres. Il n'était pas achevé d'être bâti et l'on voyait le ciel à travers les lambourdes de la toiture. Attaché à la poutrelle du pignon, un bouquet de paille entremêlé d'épis faisait claquer au vent ses rubans tricolores.
Homais parlait. Il expliquait à la compagnie l'importance future de cet établissement, supputait la force des planchers, l'épaisseur des murailles, et regrettait beaucoup de n'avoir pas une canne métrique, comme M. Binet en possédait une pour son usage particulier.
Emma, qui lui donnait le bras, s'appuyait un peu sur son épaule, et elle regardait le disque du soleil irradiant au loin, dans la brume, sa pâleur éblouissante ; mais elle tourna la tête : Charles était là. Il avait sa casquette enfoncée sur les sourcils, et ses deux grosses lèvres tremblotaient, ce qui ajoutait à son visage quelque chose de stupide ; son dos même, son dos tranquille était irritant à voir, et elle y trouvait étalée sur la redingote toute la platitude du personnage.
Pendant qu'elle le considérait, goûtant ainsi dans son irritation une sorte de volupté dépravée, Léon s'avança d'un pas. Le froid qui le pâlissait semblait déposer sur sa figure une langueur plus douce ; entre sa cravate et son cou, le col de la chemise, un peu lâche, laissait voir la peau ; un bout d'oreille dépassait sous une mèche de cheveux, et son grand œil bleu, levé vers les nuages, parut à Emma plus limpide et plus beau que ces lacs de montagne où le ciel se mire.
- Malheureux ! s'écria tout à coup l'apothicaire.
Et il courut à son fils, qui venait de se précipiter dans un tas de chaux pour peindre ses souliers en blanc. Aux reproches dont on l'accablait, Napoléon se prit à pousser des hurlements, tandis que Justin lui essuyait ses chaussures avec un torchis de paille. Mais il eût fallu un couteau ; Charles lui offrit le sien.
- Ah ! se dit-elle, il porte un couteau dans sa poche, comme un paysan !

In Madame Bovary, G. Flaubert

[felipe]

[Melk]

Hello les gens,

Pour le fun (car je pense que l'intérêt de pousser autant l’affûtage pour un couteau, même de cuisine est quand même super limité…) je me suis fait des pad de polissage en balsa:



30x10cm de balsa de 10mm d'épaisseur collé sur une planche de chêne
Puis poncé jusqu'au grain 1000 sur marbre

Ensuite j'en ai chargé une en pâte diamantée 1µm et l'autre en mélange oxyde de chrome / huile pour cuir

Bon, après pour le résultat c'est dur de dire si c'est mieux que la shapton 8000: au feeling je dirais que oui: ça rase plus doucement, etc... mais difficile d'être objectif! j'ai essayé de regarder le fil avec le microscope usb que j'utilise avec mes filles mais la résolution est bien pourrie:



Vous utiliser une loupe et si oui quel genre pour contrôler le fil? (car à l'oeil ça me parait poli miroir...)

Merci!

[manda]

Mes premières classes

[panerai]

Les "triangles" diamantés du 204 s'utilisent-ils de la même façon que leur cousins céramique, cad, faut il aussi ébaucher en commençant par leur arrête ?



La