Vin d'honneur du mariage d'un cousin de ma femme, il y a 2 ans.
Que des crudités (chou, brocolis, etc. incroyable de mauvais goût
).
Dans un coin, une barrique avec dessus 2 ou 3 sauc' qui patientaient. Mais intacts, et pas une lame à l'horizon.
Ni une, ni deux (ni trois d'ailleurs), je sors mon Vellave de Jourget.
Fin, élégant, tout métal, beau pouvoir de coupe.
Bizarrement, le buffet pour
s'est trouvé drôlement moins achalandé
… Bon par contre, après j'étais de corvée de tranchage pour tout le monde, mais j'avais pris soin de mettre un demi-sauc' de côté (pas fou)
…
Une autre fois, en terrasse d'un bon bar à bière.
A la table à côté, petit couple BCBG qui prend une planche apéro (ENCORE des crudités mais aussi quelques charcutailles).
La gonzesse, mignonne, attendait que son bellâtre lui coupât laborieusement un peu de jambon avec le couteau à steak bien moisi fourni par la maison.
Je sais plus ce quel couteau j'avais sur moi, sûrement mon ancien Usciolu, toujours est-il que je tendis ladite lame manche en avant avec un grand sourire à la belle : "Vous arriveriez sûrement mieux avec ça, non ?". Sourire charmé en retour.
… L'histoire ne dit pas si ma moitié qui était à table avec moi m'a fait de gros yeux jaloux mais que voulez-vous, on ne se refait pas !
°NO.