G-M a écrit::ballot:
Pis sinon : Calamine, indenteur mal positionné ou mauvais indenteur, pièce en porte à faux, oxydation sur les portées de l’indenteur, machine pourrie, mauvais calibre de charge, surfaces non parallèles...
Voilà c'est simple mais pas si simple, le porte à faux c'est l'ennemi du duromètre, du spectromètre
Il y a une question qui me taraude par rapport à la taille du grain et la dureté.
Je n'ai pas de connaissances dans mon travail sur le sujet mais j'ai un peu de mal à admettre que la taille du grain et la dureté soient autant corrélées. La résilience pour sûr oui, la traction aussi, mais la dureté, je me demande. Ok il y a moins de joints de grains, ce qui empêche les mouvement des grains entre eux, mais les grains eux mêmes ont une dureté propre... Moins dur, c'est sûr, mais de 3, 4, 5 ou 10 HRC par rapport aux datasheet? Je trouve que c'est une bonne question.
Par exemple hier j'ai billé ma lame en CPM M4 à 62-63 hrc et la lame de JB à 62/63 itou. A la micrographie j'ai du 8/9 microns pour le M4 et environ le double pour le D2. Bon, on parle d'aciers alliés ok, mais quand même.
Je vais voir à faire une trempe complétement débile du genre 1H30 à 1150°C sous Argon sur du 100Cr6 pour voir combien j'ai en dureté, puis une micro pour voir la taille du grain.