stephane_ a écrit:
Évidement, la question ne vaut pas pour des individus capable de mettre 500 € dans un couteau qui servira à couper du saucisson

Farpaitement!
Remarque tout à fait judicieuse
stephane_ a écrit:
Évidement, la question ne vaut pas pour des individus capable de mettre 500 € dans un couteau qui servira à couper du saucisson
Lorgar a écrit:stephane_ a écrit:
Évidement, la question ne vaut pas pour des individus capable de mettre 500 € dans un couteau qui servira à couper du saucisson
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Farpaitement!
Remarque tout à fait judicieuse
Kharnyx a écrit:Alors à l'origine il y a le couteau de table qui possède ce nom, dont voici l'histoire :
"Le 9.47 c'est une histoire de table, mais aussi une histoire de vin. Ce couteau de table atypique a été imaginé par le restaurateur Yves Charles.
Fin 2004, au cours d’un repas entre amis préparé par Yves Charles dans son restaurant, les convives s’apprêtaient à déguster un excellent magret de canard. Certains avaient sorti leur propre couteau, des « Français » de chez Perceval, les autres utilisaient ceux disposés sur la table. On s’aperçut alors que la viande était parfaitement coupée par les couteaux de poche, tandis qu’elle roulait laborieusement sous le fil des couverts du restaurant.
Yves s’écria : « Comment se fait-il qu’on ne puisse trouver sur le marché un couteau de table qui coupe aussi bien que ces Français ? »
L’idée était née, revenir à la source de la fonction d’un couteau : son pouvoir tranchant. Un couteau de table devrait être conçu avec autant de soin qu’un couteau de poche. Après quelques discussions autour de ce projet durant cette soirée, on conclut que ce couteau allait partager la même silhouette que le modèle qui l’avait inspiré et l’on admit qu’une bonne partie de cette énergie créatrice avait été malicieusement inspirée par le vin que les amis avaient partagé pendant le repas. Un primeur titrant à 9,47° d’alcool, fait par un des convives : Stéphane Majeune du domaine de Peyra. Un vin qui allait donner son nom au couteau : le 9.47."
Mais concernant ce numéro apposé sur les sommeliers, j’hésite entre le hasard et une facétie de la part d'Yves pour ce coup, c'est un numéro de série représentant le compte de sommeliers que l'on peut fabriquer avec les fûts que nous avons récupéré. Ce n'est pas toujours le même, par exemple sur une autre cuvée on peut retrouver xxx/132.
stephane_ a écrit:Lorgar a écrit:stephane_ a écrit:
Évidement, la question ne vaut pas pour des individus capable de mettre 500 € dans un couteau qui servira à couper du saucisson
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Remarque tout à fait judicieuse
Bien entendu, je fais partie de ces "individus"
Kharnyx a écrit:Mais concernant ce numéro apposé sur les sommeliers, j’hésite entre le hasard et une facétie de la part d'Yves pour ce coup, c'est un numéro de série représentant le compte de sommeliers que l'on peut fabriquer avec les fûts que nous avons récupéré. Ce n'est pas toujours le même, par exemple sur une autre cuvée on peut retrouver xxx/132.
Didier a écrit:Rootard a écrit:C'est vrai ça... allez les gars, une petite photo pour nous montrer ce que vous avez fait de vos lames... pliiiizzzzzzzzz
encore rien fait
nmdv a écrit::pasmal: très chouette bravo!
Tu es content de ta ptite machine sur laquelle repose le couteau?
sealence a écrit:tu devrais nous le montrer de plus près .
Papat a écrit:Le touret transformé en backstand, fallait y penser !
(J'aime bien le principe de n'utiliser que des matériaux de récupération.)
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