
C'est des bestioles qui se régulent avec la bouffe ,plus y en a plus ils font de portées, un peu comme les renards avec les élevages
de poules en batterie , et quand ils ont pas à bouffer ils se reproduisent moins.
ETPhonehome a écrit:Chercher du cuir d'éléphant alors que leur ivoire est interdit à la vente, c'est logique?
Freevibration a écrit:ETPhonehome a écrit:Chercher du cuir d'éléphant alors que leur ivoire est interdit à la vente, c'est logique?
...rien qu'au Kruger Park, il s'en tire entre quinze et vingt par jour... et officiellement ! par les Rangers du parc...
ETPhonehome a écrit:Freevibration a écrit:ETPhonehome a écrit:Chercher du cuir d'éléphant alors que leur ivoire est interdit à la vente, c'est logique?
...rien qu'au Kruger Park, il s'en tire entre quinze et vingt par jour... et officiellement ! par les Rangers du parc...
Oui et alors?
des-monts a écrit:Les sangliers viennent jusqu'en ville en banlieue parisienne , y en a 1 qui s'est paumé dans la circulation y a pas longtemps, désarroi des gendarmes pas vraiment spécialistes...![]()
C'est des bestioles qui se régulent avec la bouffe ,plus y en a plus ils font de portées, un peu comme les renards avec les élevages
de poules en batterie , et quand ils ont pas à bouffer ils se reproduisent moins.
baalot a écrit:Tiens, juste au passage, tu disais plus haut qu'il faudrait des milliers de loups, lynx et ours pour réguler les populations d'herbivores (l'ours je sais pas trop d'ailleurs).
J'ai lu un truc intéressant l'autre fois, qui disait qu'il n'en faut pas tant que ça (les populations de prédateurs sont d'ailleurs en général peu développées par rapport aux proies). Que l'impact du prédateur n'était pas juste le "prélèvement". Que la présence potentielle du prédateur concourrait à plus stresser les herbivores, à les faire détaler plus vite au moindre bruissement, à moins "s'installer" quelque part et donc à se déplacer beaucoup, faisant faire plus d'efforts au plus faibles, réduisant les temps de rencontre "paisible" possible et que donc, "l'dée" du prédateur avait un impact concret sur le nombre d'une population de proie.
Faudrait que je retrouve le papier tiens.
abouaswad a écrit:le problème du loup pour l'instant, c'est qu'il n'a réussi à revenir que dans des secteurs montagneux, qui ne sont pas ceux où les herbivores sont en surnombre, d'où effectivement des attaques sur les troupeaux.
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