Mon cher Fred,
Tu te fais rare et , probablement peu productif en ce moment.
Mais sache que rarement j'ai trouvé un complice de mes gourmandises aussi délicieux qu'un de tes couteaux.
A l'heure où la lumière s'apprête à plonger vers la nuit et où l'on cherche un peu de réconfort dans la gourmandise et l'introspection.
Il est un compagnon qui jamais ne fait faux bond et exécute avec brio l'effeuillage d'un fruit.
C'est devenu une sorte de rituel maintenant.
Un plaisir de la main , des yeux et des papilles...
