J'ai la naïveté de croire que la majorité des représentants des forces de l'ordre ou des agents de sécurité ne sont pas des individus acariâtres qui se lèvent tous les matins avec une hargneuse envie de faire chier un inconnu.
Avec un peu de courtoisie et une attitude adaptée, les rares contrôles dont j'ai été l'objet se sont soldés par une discussion cordiale. Au pire, j'ai du confier mon couteau à un vigil à l'entrée d'un grand magasin (il avait repéré le clip qui brillait sur le rebord de la poche) pour le récupérer à la sortie et causer un peu du modèle qu'il avait eu le temps d'inspecter en détail.
J'admets toutefois volontiers que mon expérience est biaisée par la combinaison de la vie à la campagne et d'un profil "caucasien" favorable au regard de certains excités.