[pures recettes] On recommence

[rosalux]

Habiller l'intérieur d'un moule à cake avec du papier sulfurisé, c'est une galère pas possible.
La combine, c'est d'habiller l'extérieur du moule, en pliant bien les angles (y'a un petit coup de main à prendre, au début) et ensuite, de placer la forme obtenue dans le moule.
Pareil pour le papier alu, évidemment.
Mon épouse préférée ne met du papier que sur le fond du moule (en fer blanc) car si ça colle sur les côtés, c'est facile d'y faire glisser une lame de couteau avant démoulage.

[Quincey]

On ne s'endort pas sur ses Zenny awards, hop une petite mise en appétit. Pas vraiment une recette tellement c'est simple, mais ça vaut le coup !

Asperges de chez mon père, oeufs et ail des ours des fermiers "du coin". On détaille un peu les asperges (pas trop les têtes) et on fait cuire doucement dans une poêle, en ajoutant un peu d'eau pour que ça cuise un peu plus vite à coeur sans cramer; et du sel. En fin de cuisson, on rajoute l'ail des ours.

On bat les oeufs et quand les légumes sont cuits, on les met dans l'omelette.

Moi j'aime pas trop baveux, et je trouve joli quand on retourne l'omelette. Aussitôt dit...

(Je ne me suis pas foiré sur ce coup là )



Bon app' !

J'aurais du prendre une photo, j'ai fait la même recette ce soir

Asperges vertes lavées coupées en petits tronçons de 1-2 cm puis cuites dans un peu de beurre gentiment jusqu'à ce qu'elles soient tendres, sel poivre et des œufs battus pour finaliser l'omelette. Servi saupoudré d'un peu de parmesan avec une batavia toute fraîche lavée

Mon épouse préférée ne met du papier que sur le fond du moule (en fer blanc) car si ça colle sur les côtés, c'est facile d'y faire glisser une lame de couteau avant démoulage.

Même astuce

[Jonathan P.]

Hop, une p'tite recette pour une fois qu'il y a le temps !

C'est tout simple, un plat japonais style cuisine familiale vite-fait, mais c'est trop bon. C'est un donabe (prononcer donabé — donc cuit dans la marmite à riz, un rice cooker en terre cuite mais ça doit marcher dans d'autre trucs, y compris les rice cooker automatiques j'imagine...)



Là j'étais tout seul, donc je mets les doses que j'ai utilisées puis vous adaptez, ce qui est important c'est le ratio eau/riz pour une bonne cuisson, le reste sur base de ce que j'ai mis, vous adaptez au pif et ça sera bon.

Du coup pour les ingrédients:

-Riz japonais (important le bon riz!) : dose pour 1 (là j'ai mis un petit gobelet, genre que j'utilise pour boire mon café). On le rince d'abord et on vire l'eau de rinçage.
-Eau : même gobelet rempli pareil
-Filet de poisson : j'ai pris un petit maquereau, donc deux filets. Avec du saumon c'est très bien aussi.
-(Quelques tranches de shiitake : là j'en avais pas.)
-Quelques pincées de sel sur le poisson.
-Feuille de kombu séchée : 5-6 cm2
-Sauce soja : une généreuse cuillère à café (les anciennes bien creuses, pas les vilaines d'aujourd'hui!)
-Sake : la même !
-1 oignon jeune pour la déco
-sésame grillé si vous avez, pour la fin également
(-Sinon, mettre des graines de sésame dans le riz pendant la cuisson c'est sympa aussi. je l'ai fait là en fait.)

On a dit Maquereau...??!!



Bon, va falloir gérer le truc.



Parce qu'évidemment...




Bon, on vire tout ça et on démarre.

Le riz doit tremper un moment, là il trempait depuis deux heures. Donc, une fois rincé et plus ou moins égoutté, on y ajoute la même quantité d'eau et on laisse tremper. C'est dans cette eau que se fera la cuisson. Après deux heures de trempage, on metteur le riz: kombucha, sauce soja, SAKé, sésame si vous tentez, shiitakés si vous en avez, et le poisson.



dernier check :



On cuit comme du riz normal, donc avec le donabe, c'est grand feu jusqu'à ce qu'on voie de la fumée s'échapper, puis 8 minutes à feu doux, puis couper le feu et laisser reposer 10 minutes, tout ça sans jamais ouvrir le couvercle.

Ça donne ça quand on ouvre:



Une fois transvasé délicatement, y'a plus qu'à manger !

[Quincey]

C'est miam !

[el-Lapsa]

J'ai pas à quel moment on ajoutait le chat dans le rice cooker?
Miam sinon!

[el-Lapsa]

Aller pour pas laisser Jo tout seul, premier volet des "recettes de merde du père Lapsa"
Accrochez-vous c'est technique.
Prendre baguette
Couper baguette
Crème
Fromage à raclette, deux tranches par sandouich si vous tenez à poser un ITT pour AVC
Une demie tranche de jambon par douich
Les raclures du frigo. Ici j'ai trouvé un fond de boite de coeur d'artichaut.
Un peu de poivre
Un peu d'herbes de provence
On ferme le douich
Ça passe au croque-truc.
Quand ça fume et que le fromage dégueule de partout, c'est prêt.

Contenu 100% instagrammable bien sûr.



À bientôt pour de nouvelles recettes de merde avec le père Lapsa!

[Fr@nk]

Mais Jonathan, il avait des chatssittants ! Et 2 en plus pour l'aider !

[Jonathan P.]

Déjà postée une fois précédente, mais on s'en tape vu qu'à chaque fois ça change un peu. Donc pour un tajine de poulet, il faut du poulet... et plein d'autres trucs ! Donc un couteau de Melk, j'avais envie de faire tout avec celui-là, après un bon affutage.



D'abord dépiauter le poulet, c'est plus facile pour le tajine et la carcasse fera un bon bouillon avec les abats et pattes.



Tout ça sous la supervision attentive de Shashu, nouveau maitre (très contesté mais indétrônable) du plan de travail !



Une fois le poulet prêt, on fait chauffer les épices dans l'huile d'olive. Ici, deux CàC rases de Ras-el-Hanout, idem de curcuma, idem de coriandre (graines) en poudre, et une seule de cannelle.



Pendant que ça chauffe, éminçage grossier des oignons et on les ajoute pour les faire suer un peu.



Puis on ajoute le poulet pour le faire dorer brièvement



Une fois doré un peu partout, on ajoute le citron confit (2, coupés en petits morceaux), les olives dénoyautées (ici 300gr), l'ail entier et épluché, la petite botte de persil (j'avais pas de coriandre frais). Et un mini verre d'eau.



On fait cuire une bonne heure et, trois quart d'heure avant de service, on ajoute les légumes, là des haricots, courgettes, et moi j'aime y ajouter des patates (ben oui, c't'un tajine belge), je préfère que de servir avec de la semoule de blé…



Bon par contre, les courgettes rondes, c'était pas une bonne idée, c'était un peu flotteux au premier service. Au réchauffage la fois d'après, j'ai fait plus réduire et c'était bien meilleur (le tajine c'est toujours bien meilleur au réchauffage, mais là encore plus !)

[baalot]

Allez, on reprend un peu les recettes. J’avais dit un coup que je ferais la recette du poulet au citron. Je pense que tout le monde s’en foutait, mais j’y tiens, n’insistez pas.

En fait, ado, mon père m’emmenait parfois manger dans le resto d’un de ses copains, et je prenais le poulet au citron. Délicieux. J’ai longtemps cherché une recette pour retrouver ce goût sans succès. Et puis au détour d’une puis deux, puis quatre vidéos yt, on touille et paf ! Ça fait des chocapics. Heu non, je tiens ma recette.

Alors le poulet au citron, c’est pas juste un poulet avec une vague sauce citronnée hein, attention. Pis attention aussi, faut cuisiner. C’est pas difficile, mais ya plein d’étapes, des casseroles sales partout, ça se prépare pas la veille, ça va être la guerre dans la cuisine, j’te préviens. Si tu te dis « j’vais faire un petit truc vite fait et ensuite on se couche tôt », t’es pas tombé sur la bonne recette.

Il te faudra aller faire les courses suivantes :
- 5OOg de filets de poulet
- 2 citrons a peu près, pose pas de questions.
- Une racine de gingembre
- 2 gousses d’ail
- 1 œuf
- Fécule de maïs, environ 200g on va dire, tu verras.
- Sucre
- Sauce soja salée
- 100 ml de bouillon de volaille à une vache près, t’inquiètes.
Alccol de riz Shaoxing. C’t’un vin blanc chinois. Si t’en as pas, y paraît que le xeres fait la blague. Je gage que du vin blanc un peu doux ferait aussi. Mais moi c’que je fais quand yen a pas c’est un mélange tant pour tant mirin (plus souvent dispo, c’est du sake sucré) et vinaigre de riz. Ça marche très bien et c’est ce que je te conseille. La recette d’aujourd’hui est faite avec ça.
- Huile de sésame torréfié. C’est l’huile marron. Important.
- Tout plein d’huile neutre/friture
- Cébettes ou ciboule asiatique, graines de sésame, sel, poivre
- Du riz, si tu le sers avec du riz (sers le avec du riz).

Voilà. Déjà les courses c’est un poème.

Tu vas pouvoir commencer. Mets ton tablier (si, si, j’te jure, mets ton tablier, en tout cas d’ici quelques heures, compte pas cuisiner avec ta chemise blanche que tu vas mettre ce soir), prépare tout, on y va. Tout doux pour commencer.



Détaille le poulet en bouchées. Une bouchée c’est comme tu le sens, mais je conseille plutôt des petites bouchées pasqu’elles vont être « panées ». Pas trop petites non plus pasqu’elles seront frites. Des bouchées quoi. Oui, je sais. Haem.

Ensuite, tu fais mariner ces bouchées dans : 1 cuiller à soupe de Shaoxing, 1 cuiller à café d’huile de sésame torréfié, 1 cuiller à café de gingembre râpé, sel, poivre. On adapte les quantités pour que le poulet soit tout enrobé, mais ne baigne pas. Tu peux jouer sur le liquide avec le shaoxing, mais pas avec l’huile de sésame torréfié, c’est fort en goût, ya juste ce qu’y faut là. Et n’ai pas peur si t’aimes pas trop ce goût, ça reste très discret, mais c’est important pour la somme des goûts à la fin. Au départ j’avais peur que ce soit trop fort mais non, si tu fais pas le fou et suit les quantités, ça sera très bon.

Réserve le poulet de 1 heure à une nuit. Comme tu veux, minimum 1 heure. Minimum.






Pendant ce temps, tu peux commencer à préparer la sauce citron. C’est pas long ni compliqué, pas la peine de t’y prendre 2 heures à l’avance.

Dans un petit bol, tu mélanges deux cuiller à soupe de sucre (roux c’est bien), une pincée de sel, 1 cuiller à soupe de sauce soja, 1 cuiller à café d’huile de sésame torréfié (pareil qu’au dessus, faut la mettre et faut pas déborder), 100 ml de bouillon de volaille, le jus des deux citrons, voir d’un seul si t’as des gros citrons.

Là aussi tu peu varier un poil les quantités de liquide, pasqu’on va la réduire un peu la sauce. Mais bon, ça tu le sauras qu’après la première tentative, pour voir comment t’aimes.

Pour le bouillon, ça va sans dire, du vrai bouillon de volaille c’est bien mieux. De manière générale d’ailleurs, le vrai bouillon ça change une recette. Risotto, gratinée à l’oignon, toussa, la différence est flagrante. Si t’es pas un adepte, tu devrais t’y mettre.

Dans un autre petit récipient, prépare un mélange d’une cuiller à café de fécule de maïs dans une cuiller à café d’eau. Tu peux aussi déjà râper une cuiller à café de gingembre, et écraser et émincer deux gousses d’ail à réserver.

Et là, ça commence. On sort le poulet mariné, et on le mélange avec un œuf battu. Puis, faut éliminer le surplus de liquide en passant le poulet mariné/oeuf dans une passoire. (Et allez, une passoire à la plonge…).

Ensuite il faut recouvrir le poulet de fécule de maïs. Théoriquement c’est faisable dans un sac, celui-là même dans lequel t’aurais fait la marinade par exemple, avec juste 100g de fécule, en l’incorporant en 2-3 fois, et en touillant bien entre chaque. En vrai bof. Les morceaux se collent entre eux ce qui fait qu’ils ne s’enrobent pas, ça fait des grumeaux… J’y arrive mieux dans un plat.

Pasque la fécule de maïs, c’est pas comme la farine, c’est pas ta copine. Et que je m’agglomère n’importe comment, et que je colle aux doigts, et que je suis galère à touiller pasque moi je suis non newtonnienne, nanana, et que un coup je décide de rester en poudre un coup non, et que je colle le poulet encore plus. Et que je suis chiante à éponger sans laisser tremper. P’tain, autant c’est sympa pour faire patouiller les gamins la fécule, autant pour le reste c’est la galère ! ALORS TU POSES CETTE CUILLER EN BOIS KEVIN, TU TE CALMES ET M’ENROBES CE PUTAIN DE POULET !

Hum. Scusez. Des réminiscences d’anciens boulots. Que le jury ne tienne pas compte de ce qui vient d’être dit.

Je conseille donc d’enrober dans un plat (paf, un plat à la plonge). Tu mets de la fécule, tu touilles, pis tu remets un peu de fécule au fur et à mesure. la ginger ale, c'est pour garder la pêche.





C’est alors qu’entre en scène le protagoniste principal de notre histoire :



De l’huile. It’s friture time ! Ouéééééé !



Donc, on va faire frire nos poulets a bien chaud environ 5’, jusqu’à ce qu’ils aient une teinte bien brune. Ici, une fournée qui frit pendant qu’une fournée est réservée dans une passoire pour pas baigner dans l’huile (et paf, une passoire et une assiette à la plonge…). Tu peux réserver sur du sopalin, mais ça peut coller, ça s’ra pas d’ma faute.

On peut les faire un peu à l’avance, mais pas trop, tu peux pas les préparer le matin et les foutre au frigo, ça s’ra tout mou. Si t’es un américain tu peux t’arrêter là. T’as du poulet frit. Pis tu le bouffe dans un seau. Mais on est pas des américains, cuisinons mes amis.



Quand tout est frit, on va s’attaquer au grand final. On rassemble tous les ingrédients qui restent.
Je t’avais prévenu pour la chemise blanche, maintenant elle est tâchée et elle sent le graillon. T’avais qu’à mettre ton tablier quand je te l’ai dit. Z’écoutez jamais rien t’façon.




Dans une poêle, on fait revenir l’ail et le gingembre précédemment préparés dans un mini filet d’huile neutre.



Quand ça a un peu coloré, verse la préparation de sauce au citron de d’t’aleur.



A ébullition, baisse un peu le feu, laisse mijoter, et au bout d’un moment incorpore le mélange fécule/eau pour épaissir. Tu auras bien entendu pensé pendant ce temps à lancer ton riz. Sinon ce sera pas prêt en même temps, et les gens vont râler, cette bande d’ingrats.

Il ne te reste plus ensuite qu’à mettre les morceaux de poulet dans la poêle pour les enrober de sauce et les réchauffer. Là encore, c’est un peu à vue, faut qu’ils soient bien enrobés, donc que ta sauce soit assez nappante, pis les laisser assez longtemps pour qu’ils réchauffent, mais pas trop pour qu’ils soient trop ramollis. D’où l’intérêt que la sauce ne soit pas trop liquide au départ, d’où la gestion bouillon/citron des ingrédients. Tout est lié. C’est du travail, faut pas croire.

Quand tout est bien cuit comme on aime, on sert une portion de poulet, une portion de riz, on parsème de cébette et graines de sésame pour la déconne, et c’est prêt.



La photo est pas folle mais en vrai c’est très joli. Pis c’est bon.

Et voilà, maintenant, tout le monde est servi. Mais ne te détend pas ! Je te rappelle qu’il te reste à ajouter à la plonge une poêle bien enrobée, une casserole avec des grains de riz collés, une grande casserole remplie d’huile bien chaude, tout un tas de petits bols, sans compter les assiettes des convives. J’avais prévenu. C’est une recette qui fait monter les actions whirlpool à chaque coup.

Là ya pour 4 pas très copieux, mais c'est assez nourrissant, surtout avec du riz. Si vous êtes des morfales, mettez en plus.

Oui c’est un pavé. Je sais pas faire autrement, scusez.

[Quincey]

On peut les faire un peu à l’avance, mais pas trop, tu peux pas les préparer le matin et les foutre au frigo, ça s’ra tout mou. Si t’es un américain tu peux t’arrêter là. T’as du poulet frit. Pis tu le bouffe dans un seau. Mais on est pas des américains, cuisinons mes amis.

Du poulet frit ? Oui mais du Kentucky

Très sympa la recette et avec le ton qui va bien

[Fr@nk]

Encore une recette a tester ! Y nous manquait Baalot quand meme hein !

[grand goule]

ce qui est génial dans les recettes de baloot c’est que même si tu les fait pas , t’as plaisir à les lire
merci m’sieur !!

[Jonathan P.]

Cool ! La sauce nappante ça nuit pas à la consistance du poulet frit? J'ai souvent tendance à préférer avoir la sauce à côté et trempouiller les trucs dedans pour garder un maximum l'effet "friture". T'en penses quoi?

[baalot]

@Quicey, Frank et Grand-goule, merci les gars. On bosse pas dans le vent, ça fait plaisir.

@Jo: J'en pense que non. En fait j'ai testé, comme tu dit, avec la sauce pour tremper, c'était vachement moins bon, sans compter que c'est plus difficile de faire ainsi la "bouchée parfaite", avec le morceau de poulet qui a un peu saucé le riz. D'ailleurs si t'as un reste de sauce au fond de la poêle tu peux y balancer le riz à la fin. mais c'est en général pas la peine, tel quel ça va bien. Et aussi il te faudra probablement trois fois plus de sauce si tu veux que tout le monde ait son petit pot à trempouiller. Et le poulet enrobé de partout, pour moi, est bien meilleur.

Mais oui, t'as raison, au moment du nappage ya moyen de ramollir le poulet, c'est toute la "difficulté" de la recette, de garder cet équilibre entre frit et "onctueux". Mais c'est pas si difficile. Franchement du moment que je mets les morceaux dans la poêle, faire sauter 1' ça suffit je pense, à tout casser. L'important c'est que la sauce soit pas trop liquide quand t'y mets le poulet. La fois ou j'ai un peu raté c'était ça, trop de jus de citron, sauce pas assez réduite, ça ramolli direct. Sauce bien sirupeuse, ça enrobe sans trop pénétrer pour ramollir. Faut se dire que c'est jamais croustillant comme un poulet frit "tradi", c'est pas "juste" un poulet frit c'est l'intérêt du truc pour moi, ya du croquant mais pas que. Ce qui est sûr aussi, c'est que ça se prépare et se sert minute, tu remplis pas les assiettes au milieu de l'apéro, sinon c'est bien moins bon.

Ce qui est super avec cette recette, c'est que tu changes un peu la sauce, t'as une autre recette bonus. Tu y mets une sauce pimentée ? Hop, poulet général Tao. Tu kiffe le yuzu ou le citron vert ? fais-toi plaisir. Même un enrobement un peu masala ça doit le faire (j'ai jamais testé, mais ya pas de raisons).

[Jonathan P.]

Oui, c'est clair, j'ai mangé un poulet frit dans un truc coréen y'a pas si longtemps, et ils faisaient comme toi (enfin, le principe, quoi). Du coup c'était un peu mou, c'est pour ça que je demandais. Mais je me suis aussi dit en lisant la recette que, en effet, en changeant la sauce, tu changes d'univers à peu de frais.