Raaaaah. J'adore tout ce que tu fais. Le texte est toujours un moment de poèsie et on sentirais presque la nostalgie vous envahir assis dans l'herbe en regardant la colline d'en fasse dont les herbes sont balayées par un vent chaud.
Superbe pour les deux coutals . Le petit en lime est trés mignon et le grand est à la fois simple et beau avec une belle pointe.
BRAVO.
Bravo, et surtout merci de nous faire découvrir ton travail.
Mais au fait, tu as déjà une sacrée production pour un amateur.
Sur quelle durée as-tu réalisé les lames que tu nous as présenté? Quelques mois? Des années?
Tu n'es pas encore dans la rubriques "Artisants". A mon sens tu méritrais d'y figurer...
Fred, comme je te l'ai écrit j'adore suivre l'évolution de ton travail, il y a vraiment un style qui commence à s'affirmer tout en simplicité, élégance et efficacité. C'est clair que tes couteaux sont faits pour travailler et la longueur des lames ne les destine pas vraiment à la découpe du saucisson. Ce sont vraiment des couteaux qui veulent respirer le grand air. Tu nous mettrais pas quelques détails techniques genre TT, histoire de voyager encore un peu plus.
Un couteau c'est bien
Deux couteaux c'est trop
et trois couteaux ce n'est pas assez
Le temps me manque en ce moment...juste assez pour monter cette dernière lame.
Ensuite plus rien avant deux semaines…je pourrais à nouveau faire chauffer l'acier et chanter l'enclume.
J'aimerais pouvoir faire voyager avec des histoires de TT, mais malheureusement il n'y a rien de très excitant lors de ces moments.
Au contraire, ce sont pour moi des étapes un peu stressantes.
J'aimerais vous chuchoter qu'après avoir creusé un trou dans la terre en guise de foyer, j'ai passé des heures à souffler les braises pour monter et maintenir l'acier à près que 900°.
Plonger la lame aux belles nuances orangées dans l'huile qui à son contact s'enflamme créant dans la nuit tombante une petite aurore boréal.
J’aurais aimé vous dire me délecter de ce spectacle jusqu’à ce que la lame enfin froide et devenue dure comme un diamant noir n’attendait plus qu’un salutaire revenu dans les braises mourantes.
Il n’en est rien, mais j’en rêve malgré tout.
La poésie fait partie de l'appréciation de tes couteaux, trés joli texte sur le TT. Bon pas trop de stress quand même, tu sembles commencer à bien maitriser ton art, il ne te reste plus qu'à continuer sur ta lancée.
Un couteau c'est bien
Deux couteaux c'est trop
et trois couteaux ce n'est pas assez