Petite revue de détail du Beluga au bout d'une semaine d'EDC intense !
Depuis que je l'ai reçu, il n'a pas quitté ma poche et a été de tous les travaux et de tous les repas.
La qualité de frabrication est au rendez-vous, rien à redire sur la finition. Au bout de 3 jours à jouer avec tout le temps, jai resenti le besoin de mater un peu l'axe de la lame car j'aime les mécanismes assez fermes, sans aucun jeu latéral. Je précise que là je pinaille !
Compte tenu de sa finition polie, le manche est relativement sensible aux rayures. Cela dit, c'est ce qui donne à ces couteaux une forme de patine.
En parlant de patine, la lame en D2 se matifie au fur et à mesure. A l'emplacement sur pouce sur le dessus et de l'index, l'acier s'oxyde plus et prend un gris sombre avec des reflets d'oxydation de surface comme sur une lame carbone.
Le tranchant résiste particulièrement bien au fond de l'assiette. Je lui ai passé un rapide coup de pierre ce qui m'a permis de constater qu'il se réafile très facilement sans avoir recours à la pierre à diamant.
La manipulation à l'ouverture se fait d'une main en utilisant le pouce sur la lentille du piemontais (très sympa d'ailleurs la finition de cette pièce).
Le verouillage est très sécurisant.
Pour finir, à lapoche le couteau est dans une petite pochette en cuir et se fait complètement oublier.
Conclusion : une bonne acquisition pour qui veut un compagnon discret et efficace.
