
Je l’ai depuis mi-septembre et je ne m’en sépare plus. Depuis 3 mois, il est devenu le petit compagnon qui me suit partout dans ma vie de plus en plus nomade.
Sans fausse modestie, j’aime son ergonomie, sa discrétion, son poids plume et sa lame en D2 qui ne s’oxyde presque pas et s’affûte facilement à la 204 (merci Mr Espi). Bien à l’abri à la ceinture dans son étui en peau d’éléphant (merci Mr Olmo), il me sert de « petite lame urbaine », à couper toute sortes de choses, peler des fruits, manger occasionnellement… Un usage normal qui me tient lieu de test, je vois comment le bambou se comporte dans différents climats et comment il résiste à l’usure et à l’humidité. Un test certes peu intensif mais qui s’inscrit dans la durée.



La première photo a été prise par désoeuvrement : parfois on se retrouve tout seul dans sa chambre d’hôtel et l’on s’invente une occupation. Puis je me suis piqué au jeu et je m’en suis servi comme d’une sorte de carnet de voyage en photos.
Le but final : remporter haut la main le record mondial du couteau le plus photographié de la terre !
