Sebenza, une drogue?

[stancaiman]

Parfois y en a des qui copient le Dr Death

aussi

qui copie le dr death ? Benchmade ?

on ne peut pas te le dire, je serais obligé de t'envoyer Nina

[oncleshu]

elle est bien nina ?

[stancaiman]

elle est bien nina ?

oui mais pas toujours très douce

[abouaswad]

surtout nue

[Epitaf]

elle est bien nina ?

[manda]

[stancaiman]

non pas la Hagen

[stancaiman]

c'est juste un nom de code

[oncleshu]

elle est bien nina ?

oui mais pas toujours très douce

faudra qu'elle s'epile alors

[Alexandre17]

un excellent couteau , mais il y a mieux , et moins bien.

Justement, tu as raison : il y a un côté mitigé (ne serait-ce que parce que le produit se désagrège vite en termes visuels, de surface). Or, le prix, lui, n'est pas du tout mitigé : couteau ou pas, c'est le prix d'un produit de luxe industriel. Du coup, le fossé entre le produit un peu discutable et son prix élevé est comblé par... le psychologique, la poésie, le mythe (ce qui n'a rien de négatif, bien au contraire : sans ça, il n'y aurait pas de grands Champagnes, par exemple). C'est cet écart qui m'interpelle et que je tente d'ausculter. C'est pourquoi j'essaye, si les détracteurs existent vraiment, de savoir quels sont leurs arguments (à part l'usure visible, que j'ai bien identifiée, puisque même les fans en parlent... avec émotion).

[stancaiman]

c'est beau un objet qui a vécu, c'est moins froid et impersonnel que le truc qui sera éternellement neuf

[Fatboy59]

un peut comme une femme ?

[oncleshu]

ben j'ai ma solution , certes couteuse , j'en ai pris un , a force de lire tout ce bien , je veux verifier , tester , l'user un peu , je veux comprendre , j'suis curieux , puis je le refourgue a tobob

[radounaud]

Ne s'usent que les couteaux qui servent.

[Alexandre17]

Oui, mais là, si je comprends bien, il a l'air "vieux" en un temps record, ce qui est particulier. Je ne dis pas que c'est un défaut - il y a même des produits de luxe qui sont vendus "vieillis d'avance". Simplement, piger pourquoi les produits sont adorés (plutôt que simplement aimés), pourquoi on leur pardonne tout (alors qu'on crierait au scandale s'ils étaient signés d'un autre nom) est une partie non négligeable de mon métier. Je bosse, là, en fait. J'enquête.