Euh … réflexions persos … quand-même suite à quelques discussions avec un coutelier pas trop mauvais.
la réponse est peut-être dans le coup d'estoc (pénétration

) et le coup de taille (on slashe pour trancher).
La lame parfaite pour la pénétration (pas de remarque salace svp) est la baïonnette triangulaire (merci Napoléon) qui n'était pas aiguisée et dont l'émouture concave est poussée à l'extrème.
Sur un couteau de la taille que peuvent atteindre certains bowies, un contre-tranchant peut se justifier pour avoir une pointe plus fine donc plus de pénétration.
Sur un Bowie utilisé comme gros couteau de chasse, le contre-tranchant peut-être utilisé pour casser des os. Pas possible avec un skinner, pas assez de poids.
Si on utilise le fil d'une lame lourde, la lame reste coincée dans l'os.
Un gros utilitaire (genre camp-knife) ou un petit n'a pas de contre-tranchant … pour quoi faire d'ailleurs ?
Les couteaux de combat ont souvent un tranchant double ou même un demi tranchant sur le haut et laisse une place pour le pouce.
Un autre exemple serait le katana, fait pour tailler mais donc la pointe est redoutable.
Non, je ne me bagarre pas au couteau tous les samedi soir … seulement un samedi sur deux
Qui est le modo qui modifie mes posts pendant que le les écrit ?

" les pales du ventilateur coupaient tranche à tranche l'air épais comme du manioc."
Bernard Lavilliers