manda a écrit:stephane_ a écrit:manda a écrit:Dans une certaine limite quant même. La consanguinité n'est pas bonne mais mélanger deux ADN trop éloignés crée aussi des problèmes

J'ai lu pas mal de trucs intéressants ces dernières pages, mais ça je crois que c'est faux.
Au sein de l'espèce humaine, plus tu mixes des ADN différents, au mieux tu "régénères", étymologiquement parlant. A contrario du "dégénères".
C'est ce que m'ont appris mes études en fac de sciences naturelles. Ça a peut-être changé depuis …

Peut être. Mes sources sont loin d'être sûres et j'ai pas été fouiller plus que ça.
https://www.youtube.com/watch?v=onbPjqSOAPE&t=6s (il balance les siennes, de sources, si l'envie de creuser te prend)
Enfin bon, la quantité ne fait pas la qualité…
https://www.nature.com/articles/nature14618Résumé
L'homozygotie a longtemps été associée à des troubles mendéliens rares, souvent dévastateurs1, et Darwin a été l'un des premiers à reconnaître que la consanguinité réduit la condition physique évolutive2. Cependant, l'effet de la parenté parentale plus éloignée qui est courante dans les populations humaines modernes est moins bien compris. Les données génomiques nous permettent maintenant d'étudier les effets de l'homozygosité sur des caractères d'importance en santé publique en observant des segments homozygotes contigus (cycles d'homozygosité), qui sont présumés homozygotes sur toute leur longueur. Étant donné les faibles niveaux d'homozygotie à l'échelle du génome prévalant dans la plupart des populations humaines, des informations sont nécessaires sur un très grand nombre de personnes pour fournir une puissance suffisante3,4. Nous utilisons ici des séries d'homozygosité pour étudier 16 caractères quantitatifs liés à la santé chez 354 224 personnes de 102 cohortes et trouver des associations statistiquement significatives entre la somme des séries d'homozygosité et quatre caractères complexes : taille, volume expiratoire forcé en une seconde, capacité cognitive générale et niveau d'instruction (P < 1 × 10-300, 2,1 × 10-6, 2,5 × 10-10 et 1,8 × 10-10 et 1,8 × 10-10, respectivement). Dans chaque cas, l'augmentation de l'homozygosité était associée à une diminution de la valeur des caractères, ce qui équivaut à une descendance des cousins germains de 1,2 cm plus courte et ayant 10 mois d'éducation en moins. Des tailles d'effet similaires ont été trouvées dans quatre groupes et populations continentaux avec différents degrés d'homozygosité du génome, ce qui prouve que l'homozygosité, plutôt que confondante, contribue directement à la variance phénotypique. Contrairement aux rapports antérieurs dans des échantillons beaucoup plus petits5,6, aucune preuve de l'influence de l'homozygosité du génome sur la pression artérielle et le cholestérol des lipoprotéines de basse densité, ou dix autres caractères cardiométaboliques, n'a été observée. Puisque la dominance directionnelle est prédite pour les caractères sous la sélection évolutionnaire directionnelle7, cette étude fournit la preuve que l'augmentation de la stature et de la fonction cognitive ont été positivement sélectionnées dans l'évolution humaine, alors que de nombreux facteurs de risque importants pour les maladies complexes à apparition tardive peuvent ne pas l'avoir été.
Traduit avec
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Depuis que Sal et Eric Glesser ont inventé le Para 3, tous les autres couteaux moches n'ont pas de sens à part se faire plaisir...