bpc a écrit:en fait, si tu parles de la rotondité de la meule, il faut effectivement que tu attaques la périphérie.
mais si la meule "faseye" un peu, tu peux rattraper en attaquant les cotés.
Je ne connaissais pas le terme, c'est joli. Ca exprime bien le truc avec l'idée de la voilure.
Faudra que je vérifie, mais j'avais plutôt l'impression que ça venait du mécanisme... davantage comme un "déport" à chaque tour; et là
Ok ça se clarifie, c'est logique. Chuis rassuré !
des-monts a écrit:Exerce toi copieusement avec du couteau merdique, discrètement extirpé du tiroir de la cuisine...

C'est exactement ce que j'ai fait, et c'est pas fini ! Mais j'en ai pas assez, alors je fais comme Bpc ou Hagakure ( en moins bien ) je les saccage un peu et zou je recommence...
bpc a écrit:si d'un coté c'est plaisant à utiliser, il faut avouer que ce n'est pas un outil facile.
C'est aussi pour ça que mon coeur balance vers un éventuel back. Avec vario, ça le fait en plus pour le bois ( alors que là, avec la meule, c'est pas gagné ! )
Mais niveau sensation et plaisir, j'ai un faible pour la meule. Bon j'ai pas testé de back... mais j'ai un faible, quoi !
Niveau finances, y'a pas photo, niveau tour de main, c'est une autre histoire ( et je dis pas que le back c'est facile ! )
J'en profite
Je crois que j'avais un jpg capturé d'un vieux bouquin, qui résumait (dit avec mes mots inadéquats) l'affûtage d'une lame de façon "non uniforme", (en trois parties si je me souviens ?), mais j'ai perdu beaucoup de fichiers.
Tu en avais peut-être déjà parlé, aussi.
Tu pourrais résumer ? Ou si tu as des liens, pour ne pas trop hs, quoique ça reste dans les anciens modus operandi...

edit: on va attendre répondre les "pros", Kissaki, mais je dirais qu'en tant que grain, c'est beaucoup moins élevé. Par contre il y a un post ( sur M.C. je crois ) où bpc expliquait ça très bien. En gros l'état de finition que tu peux obtenir peut-être poussé à loisir, je crois que bpc adaptait des bandes sur des meules en bois. Sur ces bandes était incorporé un mélange abrasif qu'il pouvait donc doser en fonction de l'état de finition souhaité.
En gros, quoi !
