DiZ a écrit:ETPhonehome a écrit:Il s'agit plus d'un reportage que d'une publicité, et pour l'autre vidéo plus sombre c'était peut être aussi le cas?
Après se laisser influencer par une publicité (si bien réalisée qu'elle soit) pour acheter un couteau, cela ne m'est jamais arrivée.
C'est peut être pour ça, que même parmi les modèles (soit disant bien de chez nous), je n'ai pas acheté un Deejo?'
en réalité attention tout de meme, on est tous convaincu d'etre peu sensible a la publicité, c'est d'ailleurs souvent un de ses ressort !
l'effet d'une pub, ça peut etre un rejet, peut mettre un temps enorme a se transformer en projet dans notre cerveau
les publicitaires ne sont pas tous que des bobo pseudo créatif
et de plus en soi la reclame, qui n'est pas forcement immoral, contient beaucoup d'information, parfois tres objectives
et souvent certains reportages sont completement subjectif, ils sont alors meme s'ils n'ont pas un but mercantile, completement une forme de pub (idéologique par exemple)
bref la propagande a encore de grand jours devant elle (et parfois je me dis que je prefere clairement une connerie de pub a un reportage malhonnete)
Pour être sensible à la publicité il faut déjà accepter de s'y exposer .
Ses diverses formes de plus en plus nombreuses et envahissantes qu'elle prend de nos jours frise pour moi le harcèlement qui est un des moteurs principaux de la surconsommation et de ses conséquences diverses.
Ses vecteurs classiques, radio, télévision, dépliants/catalogues en boite à lettre peuvent facilement être évités en zappant ou avec une affiche "pas de publicité" sur sa BàL.
Les supports numériques s'ajoute maintenant à la liste avec: des mails, SMS, pop up/spam publicitaires, actions des influenceurs sur réseaux sociaux … etc.
Cela n'est pas immoral (et fait vivre des gens, tant mieux pour eux) mais cela devient quand même assez lourdingue à la longue.
Pour les diverses formes de propagandes non commerciales, c'est un autre sujet pour moi bien distinct même si sont les mêmes supports qui peuvent être utilisés pour les diffuser.
Les 3 vidéos reportages posté ci-dessus ont l'avantage de montrer la différence entre deux type de fabrications "industrielles" dont les niveaux de mécanisation semblent assez différents.
Entre l'usine moderne des ouvriers bisounours souriants et l'atelier "traditionnel" à l'ancienne où s'affairent des travailleurs apparemment plus manuels, il semble que l'on est pas vraiment dans le même cadre de travail.
Après les images que veulent refléter ces reportages sur ces deux unités de productions bien distinctes pourraient, autant une que l'autre, être plus ou moins trompeuses.
