Ghjallone a écrit:bah, j'avais toujours utilisé la faucille sans le baton... la j'ai essayé avec, je l'ai pris trop court... et paf, je me suis coupé…
Tu es un tiède, tu oublies tout le temps le marteau... faudra faire ton autocritique, un d'ces quatre.
Ce hall of shame, donc...
J'ai lu les cinq premières pages et je zappe jusqu'ici, je poursuivrai avec vos exploits plus tard, j'ai déjà le cœur à l'envers...
Il y a deux jours, en faisant le fil du Centofante... je ne sais pas ce que j'ai fichu, la lame a glissé au dessus de l'ongle de l'annulaire gauche... trois fois rien. Au moins, je suis sur qu'il coupe, pas eu besoin d'appuyer.
Gamin, en épluchant les patates avec un économe... la patate lovée dans la paume gauche, une dureté ou la lame qui glisse, je ne sais plus : me suis pelé le bas du pouce, sur la paume, un bon centimètre. Môman, regarde, sans la main ! Heureux qu'elle n'était pas loin, ça pissait bien. Ça s'est rouvert quelques jours plus tard, je prenais un bain, l'eau chaude toussa... sans doute : là, j'ai failli partir à dache.
Pas bien malin, en revanche, de la corne au talon qu'on a la flemme de râper... on l'attaque au cutter Olfa (machin noir avec le bout jaune).
Quand on pique dans la corne, il y en a au moins trois bons millimètres... donc, on y va... ah, ben non, il y a de la viande sous la corne, m**de ! 'tain, en plus, il y a du résiné et partout. A beau compresser, être allé à cloche pied chercher le rouleau de sopalin© en mettant du sang partout sur la moquette...
En plus, vu l'heure et la journée écoulée, on aimerait bien dormir, et ce résiné qui ne veut pas cesser de couler ou si peu ; pas envie d'appeler le SAMU pour ça et conduire ou marcher jusqu'aux urgences en se tenant le compressif sur le talon, pas top, hein ?!
Ce n'est pas non plus Kill Bill ou Jeanne d'Arc de Besson donc mouchoir, une chaussette là-dessus et au dodo (si ça continue, j'ai coupé l'image et le son, de toute manière).
Au lever, c'était bon, ça résistait même au passage du doigt. En revanche pour aller taffer à pince, c'était sensible.