Par contre, le coup de la papillote m'intrigue encore. >Si l'ensemble est plongé dans le baing d'huile la lame a un contact avec l'huile par "bain marie" ou bien l'huile arrive à rentrer progressivement dans la papillote. Auquel cas, cela peut participer à un procédé de trempe très "doux" ???
Et puis, un jour, la corneille raconte qu’elle a entendu au loin quelqu’un qui recommence à pleurer. Guenièvre ! Guenièvre ! Alors là, j’ouvre un œil, je rampe, mangeant la neige, léchant l’eau croupie…
Bonsoir Stéphane, Je viens de rentrer à la maison et je viens à peine de me connecter...mais t'as bossé aujourd'hui ??? Tout d'abord tous mes vœux pour 2010 (Pace è salute mais aussi bonheur et prospérité), à toi et toute ta famille. Je viens de tout visionner, j'ai qu'un mot à dire : SUPER !!!!! et encore merci.
L'intérêt de la trempe est dans la vitesse de refroidissement, rien d'autre, étant donné que la papillote est en contact direct avec la lame, le transfert de température est relativement rapide entre la papillote et la lame, donc la lame refroidit à peine plus lentement que la papillote ou que s'il n'y avait pas de papillote. Et le fait que cela refroidisse plus lentement peu aussi avoir un intérêt recherché, entre la trempe à l'huile et la trempe à l'air.
Et si on risque sa peau et son portefeuille à jouer avec du feuillard, c'est surtout pour éviter l'air..qui amenera une décarburation et de l'oxyde de chrome sur un inox qui est un peu cc à enlever avec ses 68HRC ..