Voilà, comme prévu, j’ai fait mon petit tour au Sicac , Vendredi de 13h45 à 17 h .
Premières impressions : Le quartier est désert, ça fait 3 jours que je suis à Paris et c’est la première fois que je vois aussi peu de monde ds une rue. Je parle de la rue de la station de métro près du Sicac.
Bon on y va, arrivés devant l’entrée, il faut faire la queue( 20 mn). On finit par accéder à la salle que je voyais plus spacieuse ds mon imagination pré Sicac.
Je vous ai dis qu’il s’agissait de mon premier salon coutelier ?
Ben voilà, à présent c’est fait. Impossible de me déplacer les week-ends, je bosse toujours Samedi et Dimanche.
J’attaque avec ma moitié, par un tour ds le sens des aiguilles d’une montre par les tables extérieures, à commencer par celle deF. Perrin.
Là, ça ne va pas du tout, trop de monde se presse devant, il doit y avoir quelque chose. Mais non rien de grave, juste quelques aficionados, fans et groupies ne laissent absolument pas d’espace aux insensés comme nous qui avons l’audace de vouloir jeter un coup d’œil. Ma moitié me tire en me disant ; c’est trop armièsque !( ds le texte)
Zut, je voulais voir et toucher les bowies de FP. Bon on reviendra plus tard, on va continuer la visite.
Paulo Simoes est juste à côté, mais je n’accroche pas plus que ça. Du coup, je me dis ; On va faire un tour rapide pour se faire une idée. Il est 14h 15, ou ds ces eaux là quand j’arrive à la table de Parmentier. Gros point d’interrogation, il ne reste plus que 2 couteaux droits sur sa table. Je dis à ma moitié en connaisseur que ce gars là est venu présenter un catalogue et prends des commandes seulement. Je n’ai pas fait longtemps le malin car un monsieur très sympa me dit que tout a été vendu en moins d’une heure.
Alors, je voulais un Plazen, il n’y est pas, un Maschio, il n’y est pas, un Parmentier, je suis arrivé trop tard (j’y croyais pas). Que vais -je faire ?
Je vais regarder toutes ces beaux objets artisanaux et je vais prendre mon temps.
Après tout, je crois que d’autres couteliers savent faire des couteaux également.
Je vais jeter un coup d’œil chez Lespect : C’est l’émeute, les couteaux disparaissent très vite, trop vite. Il est 14h30
Bon, je vais voir ailleurs en me demandant ce qu’il va se passer Samedi. Que vont-ils vendre ?
Peu après, je discute un peu avec M. Moing qui est un jeune gars très sympa et je trouve un higo tout à fait à mon goût et à celui de madame. Hop je ne le lâche pas, je le manipule et je trouve qu’il a été fait pour moi. « J’achète » C’est mon premier sur un Sicac. Il est 15hoo ! Ca se fête on va boire un coup à la buvette.
Bon je vous raconterais la suite plus tard. Je vais dormir car demain boulot très tôt.

J'adore parler de rien. C'est le seul domaine ou j'ai quelques vagues connaissances. ( W. Churchill)